Trente neuf employés licenciés de la mairie de Kaolack ont entamé une grève de la faim pour exiger leur intégration. Selon leur porte-parole, Babacar Sène, le tribunal et la Cour d’Appel avaient exigé du maire leur intégration avec des contrats à durée indéterminée.
« Nous avons travaillé à la mairie depuis 2009 bien avant l’arrivée du maire Mme Mariama Sarr« , a déclaré, sur la Rfm, le porte-parole des employés, Babacar Sène. Selon lui, à son arrivée, le maire a recruté 71 personnes excepté ces travailleurs. Et ces derniers ont dû saisir l’Inspection du travail pour réclamer leur intégration.
C’est ainsi que, poursuit-il, « le tribunal a demandé au maire de nous intégrer avec des contrats à durée indéterminée assorti d’une amende de 17 millions. Malgré son appel auprès de la Cour d’Appel, le maire n’a pas obtenu gain de cause et a été contrainte d’embaucher ces travailleurs ».
Cependant, ces travailleurs demandent au maire d’exécuter la décision de justice sans quoi, ils comptent passer à la vitesse supérieure. Ils ont aussi interpellé le président de la République pour tirer cette affaire au clair.
Interrogé par la Rfm, Mme le maire, Mariama Sarr, a déclaré n’avoir reçu aucun document de la justice exigeant l’intégration de ces travailleurs.
« Nous avons travaillé à la mairie depuis 2009 bien avant l’arrivée du maire Mme Mariama Sarr« , a déclaré, sur la Rfm, le porte-parole des employés, Babacar Sène. Selon lui, à son arrivée, le maire a recruté 71 personnes excepté ces travailleurs. Et ces derniers ont dû saisir l’Inspection du travail pour réclamer leur intégration.
C’est ainsi que, poursuit-il, « le tribunal a demandé au maire de nous intégrer avec des contrats à durée indéterminée assorti d’une amende de 17 millions. Malgré son appel auprès de la Cour d’Appel, le maire n’a pas obtenu gain de cause et a été contrainte d’embaucher ces travailleurs ».
Cependant, ces travailleurs demandent au maire d’exécuter la décision de justice sans quoi, ils comptent passer à la vitesse supérieure. Ils ont aussi interpellé le président de la République pour tirer cette affaire au clair.
Interrogé par la Rfm, Mme le maire, Mariama Sarr, a déclaré n’avoir reçu aucun document de la justice exigeant l’intégration de ces travailleurs.