Deux des plus gros concessionnaires de véhicules de la place ont été pris la main dans le sac par les services de l’Etat. Il s’agit de Ccbm et Tata Industries, mis en cause dans une affaire de falsification des données techniques de véhicules pour un marché d’un milliard de francs environ, pour des véhicules destinés au ministère de l’Education nationale. Les services de l’Etat envisagent même une plainte en justice et auprès de l’Armp.
Le Quotidien, dans sa livraison de ce samedi 5 septembre a révélé qu’il s’agit d’un marché qui porte sur l’acquisition de 97 véhicules. C’est dans le cadre d’un dépouillement d’un marché d’acquisition de véhicules pour le département de Serigne Mbaye Thiam, que des irrégularités sur les documents d’homologation présentés par des sociétés privées concessionnaires de véhicules ont été notées, informe le journal qui dit tirer sa source d’un communiqué rendu public, ce vendredi par les services du ministère des Infrastructures, du désenclavement et des Transports routiers.
Des actes non conformes à la loi qui auraient mis le ministre Mansour Elimane Kane dans une colère noire. Ce qui fait qu’il a «relevé l’agent impliqué dans la falsification des documents administratifs en question de ses fonctions». Une enquête administrative pour situer les responsabilités des uns et des autres sera ouverte et tout agent identifié fera l’objet d’une sanction appropriée». De même, l’Agent judiciaire de l’Etat (Aje) sera saisi «aux fins de l’ouverture d’une procédure judiciaire», ainsi que de l’Autorité de régulation des marchés publics (Armp) «pour l’application des mesures prévues par le Code des marchés publics».
Le Quotidien, dans sa livraison de ce samedi 5 septembre a révélé qu’il s’agit d’un marché qui porte sur l’acquisition de 97 véhicules. C’est dans le cadre d’un dépouillement d’un marché d’acquisition de véhicules pour le département de Serigne Mbaye Thiam, que des irrégularités sur les documents d’homologation présentés par des sociétés privées concessionnaires de véhicules ont été notées, informe le journal qui dit tirer sa source d’un communiqué rendu public, ce vendredi par les services du ministère des Infrastructures, du désenclavement et des Transports routiers.
Des actes non conformes à la loi qui auraient mis le ministre Mansour Elimane Kane dans une colère noire. Ce qui fait qu’il a «relevé l’agent impliqué dans la falsification des documents administratifs en question de ses fonctions». Une enquête administrative pour situer les responsabilités des uns et des autres sera ouverte et tout agent identifié fera l’objet d’une sanction appropriée». De même, l’Agent judiciaire de l’Etat (Aje) sera saisi «aux fins de l’ouverture d’une procédure judiciaire», ainsi que de l’Autorité de régulation des marchés publics (Armp) «pour l’application des mesures prévues par le Code des marchés publics».