Les commerçants du marché Tilène de Ziguinchor sont hors deux.
Face à la presse hier, le président des commerçants du marché Tilène a repris ses attaques. « Fatigués ! Fatigués, fatigués sont les commerçants de Tilène. Tous les commerçants de Ziguinchor sont fatigués. Nous en avons marre de cette situation insupportable », lâche Ousmane Faye dit « Boy sérère ».
Ces 351 commerçants victimes de l’incendie de 2018 qui a réduit en cendres ce grand marché au cœur de la ville de Ziguinchor, ne veulent qu’être recasés. « Nous réclamons une zone de recasement en attendant la reconstruction du marché qui ne finit jamais ».
Malheureusement, certains parmi eux qui avaient élu commerce sur les trottoirs et les artères du marché ont été chassés des lieux. Il déplore que « déjà une cinquantaine de ces commerçants ont été déguerpis pour occupation anarchique de la voie publique. »
Dans une colère noire, il regrette : « Depuis 2018, nous sommes dans une situation très, très précaire. On ne sait pas où poser les pieds. On n’a pas quelqu’un qui est venu nous aider, ni l’État, encore la commune. On nous a laissé dans le vent comme ça, dans les rues, sur les gravats, sous le soleil, sous la pluie. On a fait six (6) ans dans ces conditions », maugrée-t-il...
dakaractu
Face à la presse hier, le président des commerçants du marché Tilène a repris ses attaques. « Fatigués ! Fatigués, fatigués sont les commerçants de Tilène. Tous les commerçants de Ziguinchor sont fatigués. Nous en avons marre de cette situation insupportable », lâche Ousmane Faye dit « Boy sérère ».
Ces 351 commerçants victimes de l’incendie de 2018 qui a réduit en cendres ce grand marché au cœur de la ville de Ziguinchor, ne veulent qu’être recasés. « Nous réclamons une zone de recasement en attendant la reconstruction du marché qui ne finit jamais ».
Malheureusement, certains parmi eux qui avaient élu commerce sur les trottoirs et les artères du marché ont été chassés des lieux. Il déplore que « déjà une cinquantaine de ces commerçants ont été déguerpis pour occupation anarchique de la voie publique. »
Dans une colère noire, il regrette : « Depuis 2018, nous sommes dans une situation très, très précaire. On ne sait pas où poser les pieds. On n’a pas quelqu’un qui est venu nous aider, ni l’État, encore la commune. On nous a laissé dans le vent comme ça, dans les rues, sur les gravats, sous le soleil, sous la pluie. On a fait six (6) ans dans ces conditions », maugrée-t-il...
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