Match compliqué en vue pour Marcel Desailly. Non pas sur un terrain de football, où l'ex-capitaine de l'équipe de France a excellé, mais face à la justice depuis que son ex-compagne lui réclame de reconnaître la paternité de sa fille Victoria, née en 2014. Selon Le Parisien, qui suit l'affaire, l'ex-footballeur aurait eu une relation de huit ans, entre 2010 et 2018, avec Cosma Batista de Alcantara, une jeune Brésilienne venue à Paris pour suivre une formation d'esthéticienne. Afin d'appuyer sa démarche, celle-ci aurait fourni à la justice des dizaines de photos et de vidéos qui prouvent leur histoire, où l'on voit notamment Marcel Desailly poser à côté d'elle et de la petite Victoria.
« Cela ne démontre en rien qu'il y aurait eu un lien particulier », a rétorqué son avocate dans les conclusions qu'ont pu lire nos confrères. « Il a simplement agi comme le ferait n'importe quelle personne rencontrant une amie avec son enfant. » Mais dans le même temps, elle laisse entendre que tous deux se connaissaient bien. « Lorsqu'elle lui a annoncé sa grossesse, celui-ci, déjà père de quatre enfants, lui avait indiqué, sans avoir aucune certitude qu'il en soit le géniteur, qu'il n'entendait pas, s'il en était le père, le garder. » Marcel Desailly a en effet trois garçons et une fille – qui se prénomme également Victoria – de son union avec son ex-femme Virginie, dont il a divorcé en 2021.
Problèmes d'argent
L'ex-Bleu accorde tout de même à Cosma Batista une aide financière de 500 euros par mois, autre signe de leur proximité. « Marcel Desailly a toujours été généreux avec Madame, a expliqué son avocate. Le fait qu'il lui ait prêté de l'argent pour lui permettre de faire face à diverses dépenses, dont les frais d'école de sa fille, ne saurait permettre de conclure qu'il en est le père. » Selon Le Parisien, son ex-compagne lui aurait demandé 5 000 euros par mois pour accepter de mettre fin à la procédure, une pension que le champion du monde 98 serait incapable de régler. « Je ne suis plus sportif, je ne vis pas en France, lui aurait-il répondu. Tu parles de 5 000 euros. Mais ça va être pris où ? Tu ne connais même pas mes revenus. Il ne me reste même pas ça… »
Ce n'est pas la première fois que Marcel Desailly est empêtré dans une affaire de reconnaissance en paternité. En 2016, la cour d'appel d'Aix-en-Provence confirmait qu'il était bien le père d'Aïda Mendy, une jeune fille originaire du Var âgée à l'époque de 25 ans, qui avait obtenu gain de cause après des années de procédures, devenant ainsi la fille aînée du footballeur. Desailly avait refusé plusieurs fois de se plier à un test génétique, signant là « un aveu » de filiation aux yeux de la justice. Dans le cas de la petite Victoria, il aurait demandé lui-même à recourir au test de paternité. Réponse dans les prochains mois…
« Cela ne démontre en rien qu'il y aurait eu un lien particulier », a rétorqué son avocate dans les conclusions qu'ont pu lire nos confrères. « Il a simplement agi comme le ferait n'importe quelle personne rencontrant une amie avec son enfant. » Mais dans le même temps, elle laisse entendre que tous deux se connaissaient bien. « Lorsqu'elle lui a annoncé sa grossesse, celui-ci, déjà père de quatre enfants, lui avait indiqué, sans avoir aucune certitude qu'il en soit le géniteur, qu'il n'entendait pas, s'il en était le père, le garder. » Marcel Desailly a en effet trois garçons et une fille – qui se prénomme également Victoria – de son union avec son ex-femme Virginie, dont il a divorcé en 2021.
Problèmes d'argent
L'ex-Bleu accorde tout de même à Cosma Batista une aide financière de 500 euros par mois, autre signe de leur proximité. « Marcel Desailly a toujours été généreux avec Madame, a expliqué son avocate. Le fait qu'il lui ait prêté de l'argent pour lui permettre de faire face à diverses dépenses, dont les frais d'école de sa fille, ne saurait permettre de conclure qu'il en est le père. » Selon Le Parisien, son ex-compagne lui aurait demandé 5 000 euros par mois pour accepter de mettre fin à la procédure, une pension que le champion du monde 98 serait incapable de régler. « Je ne suis plus sportif, je ne vis pas en France, lui aurait-il répondu. Tu parles de 5 000 euros. Mais ça va être pris où ? Tu ne connais même pas mes revenus. Il ne me reste même pas ça… »
Ce n'est pas la première fois que Marcel Desailly est empêtré dans une affaire de reconnaissance en paternité. En 2016, la cour d'appel d'Aix-en-Provence confirmait qu'il était bien le père d'Aïda Mendy, une jeune fille originaire du Var âgée à l'époque de 25 ans, qui avait obtenu gain de cause après des années de procédures, devenant ainsi la fille aînée du footballeur. Desailly avait refusé plusieurs fois de se plier à un test génétique, signant là « un aveu » de filiation aux yeux de la justice. Dans le cas de la petite Victoria, il aurait demandé lui-même à recourir au test de paternité. Réponse dans les prochains mois…