Manuel Valls entame une tournée africaine à la mi-sept 2016 en Afrique pour une tournée dans différents pays. Un voyage diplomatique certes mais qui permet au Premier ministre de structurer et renforcer ses réseaux en Afrique comme l'explique un article paru dans La Lettre du Continent (lien abonné), publié le 15 juillet.
Comme le relate le journal, l'ancien maire d'Évry serait devenu le canal privilégié des dirigeants africains pour passer des messages à François Hollande. Et le journal de prendre en exemple un rendez-vous entre Manuel Valls et Denis Sassou Nguesso, président de la République du Congo depuis 1997.
Lors de celui-ci, ce dernier se serait plaint d'une perquisition dans sa villa du Vésinet(78) par la justice française. Une plainte restée lettre morte puisque la villa a de nouveau été perquisitionnée en juin, toujours selon les informations de La Lettre du Continent.
Si le Premier ministre ne mène pas encore de "diplomatie parallèle", il s'appuie sur un homme, connu pour ses réseaux en Afrique : Ibrahima Diawadoh N’Jim. Conseiller officieux du Premier ministre (il n'apparaît pas dans l'organigramme de Matignon), il est *plutôt* proche de Manuel Valls puisqu'il fut son témoin de mariage en 2010.
Dans un portrait réalisé en 2013 par Jeune Afrique, il était défini comme un "Valls Boy" puisqu'il a suivi l'ascension du Premier ministre depuis la mairie d'Évry. Et visiblement, l'influence de ce dernier en Afrique serait réelle puisque le Premier ministre a des liens réguliers avec Hamed Bakayoko, ministre de l'Intérieur de Côte d'Ivoire, Mahamadou Issoufou, président du Niger ou Ibrahim Boubacar Keïta, président du Mali.
Comme le relate le journal, l'ancien maire d'Évry serait devenu le canal privilégié des dirigeants africains pour passer des messages à François Hollande. Et le journal de prendre en exemple un rendez-vous entre Manuel Valls et Denis Sassou Nguesso, président de la République du Congo depuis 1997.
Lors de celui-ci, ce dernier se serait plaint d'une perquisition dans sa villa du Vésinet(78) par la justice française. Une plainte restée lettre morte puisque la villa a de nouveau été perquisitionnée en juin, toujours selon les informations de La Lettre du Continent.
Si le Premier ministre ne mène pas encore de "diplomatie parallèle", il s'appuie sur un homme, connu pour ses réseaux en Afrique : Ibrahima Diawadoh N’Jim. Conseiller officieux du Premier ministre (il n'apparaît pas dans l'organigramme de Matignon), il est *plutôt* proche de Manuel Valls puisqu'il fut son témoin de mariage en 2010.
Dans un portrait réalisé en 2013 par Jeune Afrique, il était défini comme un "Valls Boy" puisqu'il a suivi l'ascension du Premier ministre depuis la mairie d'Évry. Et visiblement, l'influence de ce dernier en Afrique serait réelle puisque le Premier ministre a des liens réguliers avec Hamed Bakayoko, ministre de l'Intérieur de Côte d'Ivoire, Mahamadou Issoufou, président du Niger ou Ibrahim Boubacar Keïta, président du Mali.