Le juge des référés liberté de la Cour suprême avait statué vendredi 28 mars en faveur de l’ancien ministre des Infrastructures, des Transports terrestres et du Désenclavement sous Macky Sall, estimant que son droit fondamental à la liberté de circulation était bafoué sans justification officielle. Il avait ainsi sommé la police de l’air et des frontières de mettre fin à cette restriction ou de fournir un document légal l’appuyant.
L’État a immédiatement réagi en introduisant un recours visant à contester l’ordonnance du juge, cherchant ainsi à maintenir l’interdiction frappant Mansour Faye.
Cette affaire remonte au 10 mars 2025, lorsque l’ex-ministre avait été empêché d’embarquer à l’aéroport international Blaise Diagne alors qu’il devait prendre un vol pour Djeddah. Mansour Faye sera éconduit une deuxième fois à l’aéroport Blaise Diagne alors qu’il tentait de se rendre à Abidjan par la compagnie Air Ivoire.
Se disant victime d’une “intimidation politique”, il avait dénoncé une décision arbitraire, tandis que les autorités n’ont jamais officiellement communiqué sur les raisons de cette interdiction.
Le Soleil
L’État a immédiatement réagi en introduisant un recours visant à contester l’ordonnance du juge, cherchant ainsi à maintenir l’interdiction frappant Mansour Faye.
Cette affaire remonte au 10 mars 2025, lorsque l’ex-ministre avait été empêché d’embarquer à l’aéroport international Blaise Diagne alors qu’il devait prendre un vol pour Djeddah. Mansour Faye sera éconduit une deuxième fois à l’aéroport Blaise Diagne alors qu’il tentait de se rendre à Abidjan par la compagnie Air Ivoire.
Se disant victime d’une “intimidation politique”, il avait dénoncé une décision arbitraire, tandis que les autorités n’ont jamais officiellement communiqué sur les raisons de cette interdiction.
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