
Les restrictions de voyage visant les figures du régime déchu se poursuivent. Cette fois, c’est Mansour Faye, maire de Saint-Louis et frère de l’ancienne Première dame, qui en fait les frais. Lundi 10 mars 2025, il s’est vu interdire de quitter le territoire sénégalais alors qu’il tentait d’embarquer à l’aéroport international Blaise-Diagne (AIBD) pour accomplir le petit pèlerinage à la Mecque.
Dans un message publié sur Facebook, Mansour Faye a dénoncé cette interdiction qu’il juge arbitraire. « Je voudrais informer l’opinion nationale et internationale que j’ai été injustement interdit d’embarquer dans le vol d’Air France, ce jour lundi 10 mars 2025, à destination de Djeddah via Paris, pour aller faire le ‘petit pèlerinage’ à la Mecque », écrit-il. À sa demande d’explications, un agent de police lui aurait répondu : « C’est sur instruction de l’Autorité supérieure », sans plus de détails.
Pour Mansour Faye, cette décision sent la vengeance politique. « À ma connaissance, je ne fais l’objet d’aucune procédure, ni d’aucune enquête, encore moins d’une quelconque accusation », martèle-t-il. Il ajoute, furieux : « Si c’est pour des questions politiques, cette autorité va continuer à souffrir ! Qu’elle sache que je suis et reste debout, droit dans mes bottes ! » Le maire de Saint-Louis voit dans cette interdiction une tentative d’intimidation, qu’il promet de défier avec détermination.
Seneweb
Dans un message publié sur Facebook, Mansour Faye a dénoncé cette interdiction qu’il juge arbitraire. « Je voudrais informer l’opinion nationale et internationale que j’ai été injustement interdit d’embarquer dans le vol d’Air France, ce jour lundi 10 mars 2025, à destination de Djeddah via Paris, pour aller faire le ‘petit pèlerinage’ à la Mecque », écrit-il. À sa demande d’explications, un agent de police lui aurait répondu : « C’est sur instruction de l’Autorité supérieure », sans plus de détails.
Pour Mansour Faye, cette décision sent la vengeance politique. « À ma connaissance, je ne fais l’objet d’aucune procédure, ni d’aucune enquête, encore moins d’une quelconque accusation », martèle-t-il. Il ajoute, furieux : « Si c’est pour des questions politiques, cette autorité va continuer à souffrir ! Qu’elle sache que je suis et reste debout, droit dans mes bottes ! » Le maire de Saint-Louis voit dans cette interdiction une tentative d’intimidation, qu’il promet de défier avec détermination.
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