Quelle que soit la personne derrière le projet audiovisuel des deux professionnels, tôt ou tard, ça se saura. Mais a priori, Yerim Sow est connu pour être une personne très discrète, qui ne parle pas aux médias. Ce n’est peut-être pas en possédant un groupe qu’il libèrera la parole. En juin 2008, Jeune Afrique retraçant le parcours du fils d’Aliou Sow, écrivit : «Méfiant et prudent comme il se doit. Holding du groupe basé à Maurice, direction installée à Genève, liens étroits et récurrents avec Dubaï. Pour le reste, l’homme ne brille pas par sa transparence vis-à-vis des médias. Malgré des sollicitations répétées, depuis plus d’un an, il a toujours refusé de répondre à nos questions, se contentant de nous envoyer une courte présentation écrite. Même silence du côté du conseil d’administration».
Une chose est sûre, c’est que les grands hommes d’affaires, milliardaires avec dans leurs portefeuilles une diversité d’activités économiques, comprennent aisément l’avantage, voire la nécessité pour eux de posséder aussi des…
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