Mame Cheikh Ibrahima Fall, de son vrai nom Yaspakhagne Fall, surnommé parfois Cheikh Ibra, né dans la province du Ndiambour vers 1855 à Ndiaby Fall et mort en 1930, est Baboul Mouridin (« la porte du mouridisme »)
Il a diffusé les idées de Cheikh Ahmadou Bamba il nous a montres cheikh Ahmadou Bamba Il nous a aide a etres les vrais mourudisme.
Fils de Modou Rokhaya Fall, grand érudit de l'islam au Sénégal et de Mame Seynabou Ndiaye, Mame Cheikh Ibrahima Fall descend en ligne directe de la famille royale du damel Dethialaw Atmane Fall, de la noblesse Géer du Cayer.
Il professe la foi de son marabout, à savoir la soumission à Dieu , à Mahomet et aux marabouts. L'autre credo d'Ibrahima Fall était le travail productif qu'il avait élevé au rang d'action pieuse, d'où son mot d'ordre : « Le travail fait partie de la Religion » (wolof: Dieuf Dieul, ligey tchi jaamou yalla la bock.
Il étudia à l'école coranique de son père Amadou Fall et acheva sa formation auprès d'autres maîtres théologie, fiqh et tafsir, et la grammaire ou la rhétorique.
Sa rencontre avec le cheikh Ahmadou Bamba marqua un tournant important dans son aventure spirituelle et dans sa quête d'absolu. Étant issu d'une famille de la noblesse wolof il était un soutien financier important pour les mourides et pour la voie du mouridisme auquel il dédia sa vie et sa fortune.
Sa contribution à l'expansion du mouridisme fut telle qu'on a pu dire que si Ahmadou Bamba était l'âme et le concepteur inspirant de la Voie, Fall était assurément le bras séculier, la cheville ouvrière.
Mort en 1930 dans la région de Diourbel, il est inhumé à Touba auprès de son maître le cheikh Ahmadou Bamba.
Il a diffusé les idées de Cheikh Ahmadou Bamba il nous a montres cheikh Ahmadou Bamba Il nous a aide a etres les vrais mourudisme.
Fils de Modou Rokhaya Fall, grand érudit de l'islam au Sénégal et de Mame Seynabou Ndiaye, Mame Cheikh Ibrahima Fall descend en ligne directe de la famille royale du damel Dethialaw Atmane Fall, de la noblesse Géer du Cayer.
Il professe la foi de son marabout, à savoir la soumission à Dieu , à Mahomet et aux marabouts. L'autre credo d'Ibrahima Fall était le travail productif qu'il avait élevé au rang d'action pieuse, d'où son mot d'ordre : « Le travail fait partie de la Religion » (wolof: Dieuf Dieul, ligey tchi jaamou yalla la bock.
Il étudia à l'école coranique de son père Amadou Fall et acheva sa formation auprès d'autres maîtres théologie, fiqh et tafsir, et la grammaire ou la rhétorique.
Sa rencontre avec le cheikh Ahmadou Bamba marqua un tournant important dans son aventure spirituelle et dans sa quête d'absolu. Étant issu d'une famille de la noblesse wolof il était un soutien financier important pour les mourides et pour la voie du mouridisme auquel il dédia sa vie et sa fortune.
Sa contribution à l'expansion du mouridisme fut telle qu'on a pu dire que si Ahmadou Bamba était l'âme et le concepteur inspirant de la Voie, Fall était assurément le bras séculier, la cheville ouvrière.
Mort en 1930 dans la région de Diourbel, il est inhumé à Touba auprès de son maître le cheikh Ahmadou Bamba.