Le président du mouvement Sénégal Bou Bess, Mame Adama Gueye, a exprimé ses inquiétudes par rapport au contrôle des signatures pour le parrainage. Selon lui, tout le monde doit être renseigné par le Conseil constitutionnel.
«Jusqu’à preuve du contraire, nous ne pensons pas que le Conseil constitutionnel dispose des outils techniques et technologiques pour assurer un contrôle effectif des parrainages », déclare Mame Adama Gueye, avocat à la cour.
Selon lui, ce contrôle aurait dû se faire sur la base de logiciel développé et testé. « Nous n’avons pas connaissance de logiciel détenu par Conseil constitutionnel pour exercer de manière affectif ce contrôle », dit-il.
(adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); Ainsi, l’avocat de souligner qu’il est probable que le Conseil constitutionnel s’appuie sur l’administration. Et le problème juridique que ça poserait, est que la loi ne prévoir pas un contrôle par l’administration. « Ce serait totalement illégal que le Conseil constitutionnel s’adosse sur l’administration et ne dispose d’aucun moyen de contester les rapports qu’elle fera. Nous attirons l’attention de l’opinion sur les risques qui pourraient résulter de cette situation », soutient l’avocat.
Pour mémoire, la CDP avait déclaré, dans un communiqué, que toutes les dispositions nécessaires à la sécurité et la confidentialité des données personnelles de l’ensemble des électeurs seront rappelées aux autorités et candidats concernés, sur la mise en œuvre du système de parrainage, suite à la loi n°12/2018 portant modification du code électoral.
(adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); Khady Thiam COLY
«Jusqu’à preuve du contraire, nous ne pensons pas que le Conseil constitutionnel dispose des outils techniques et technologiques pour assurer un contrôle effectif des parrainages », déclare Mame Adama Gueye, avocat à la cour.
Selon lui, ce contrôle aurait dû se faire sur la base de logiciel développé et testé. « Nous n’avons pas connaissance de logiciel détenu par Conseil constitutionnel pour exercer de manière affectif ce contrôle », dit-il.
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Pour mémoire, la CDP avait déclaré, dans un communiqué, que toutes les dispositions nécessaires à la sécurité et la confidentialité des données personnelles de l’ensemble des électeurs seront rappelées aux autorités et candidats concernés, sur la mise en œuvre du système de parrainage, suite à la loi n°12/2018 portant modification du code électoral.
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