Annoncé hier, la conférence de presse du ministre de la Jeunesse a finalement eu lieu ce mercredi 17 février 2016. L'ajournement de ce face à face avec les médias de Mambaye Niang, pour ne pas le nommer, s'explique par le fait qu'il fallait d'abord religieusement écouter son mentor de Président de la République. Lequel, comme nous vous l'annoncions devait dérouler son speech ce mardi à 13 heures avant de le reporter in extremis à 20 heures.
Faisant face à la presse, le jeune responsable de l'APR a comme il fallait s'y attendre défendu son leader, Macky Sall. Aux yeux de Mambaye Niang, il faut tirer le rideau sur ce qu'il est convenu d'appeler l'Avis du Conseil Constitutionnel. Autrement dit, il n' y a pas , selon lui, de quoi fouetter un chat. Pour lui, cet Avis devait être respecté et le Président s'y est conformé.
Saluant l'attitude de son mentor de Président de la République, l'actuel ministre de la Jeunesse de laisser entendre que les jeunes Républicains ne méritent point cette cette jurisprudence qui, selon lui, est suicidaire.
Poursuivant, Mambaye de soutenir mordicus qu'il faut juste s'en remettre au Conseil Constitutionnel. Non sans mettre sur la touche l'argument comme quoi le Président Macky Sall, qui avait promis de réduire son mandat à 5 ans, s'est dédit.
Mambaye dira, à gorges déployés, qu'on ne peut qualifier de "wax waweet" l'attitude du chef de l'Etat "d'autant que la décision vient du Conseil Constitutionnel". Etayant son argumentaire, il martèlera que le commun des citoyens Sénégalais , qui n'est pas dupe, n'amenderait jamais un tel cas de figure; "le dépôt sacré de sa légitimité qui est la constitution" pour le paraphraser.
Interpelé cependant sur la surprenante démission de son pater (Imam Mbaye Niang) , une des grosses légumes de la coalition Benno Bokk Yaakar (BBY), Mambaye répondra qu'il respecte la décision de son père. Non sans rappeler q'Imam Mbaye Niang n'est pas député sous cette bannière.
Faisant face à la presse, le jeune responsable de l'APR a comme il fallait s'y attendre défendu son leader, Macky Sall. Aux yeux de Mambaye Niang, il faut tirer le rideau sur ce qu'il est convenu d'appeler l'Avis du Conseil Constitutionnel. Autrement dit, il n' y a pas , selon lui, de quoi fouetter un chat. Pour lui, cet Avis devait être respecté et le Président s'y est conformé.
Saluant l'attitude de son mentor de Président de la République, l'actuel ministre de la Jeunesse de laisser entendre que les jeunes Républicains ne méritent point cette cette jurisprudence qui, selon lui, est suicidaire.
Poursuivant, Mambaye de soutenir mordicus qu'il faut juste s'en remettre au Conseil Constitutionnel. Non sans mettre sur la touche l'argument comme quoi le Président Macky Sall, qui avait promis de réduire son mandat à 5 ans, s'est dédit.
Mambaye dira, à gorges déployés, qu'on ne peut qualifier de "wax waweet" l'attitude du chef de l'Etat "d'autant que la décision vient du Conseil Constitutionnel". Etayant son argumentaire, il martèlera que le commun des citoyens Sénégalais , qui n'est pas dupe, n'amenderait jamais un tel cas de figure; "le dépôt sacré de sa légitimité qui est la constitution" pour le paraphraser.
Interpelé cependant sur la surprenante démission de son pater (Imam Mbaye Niang) , une des grosses légumes de la coalition Benno Bokk Yaakar (BBY), Mambaye répondra qu'il respecte la décision de son père. Non sans rappeler q'Imam Mbaye Niang n'est pas député sous cette bannière.