Mamadou Lamine Diallo n’a pas encore tourné la page des législatives. Dans un communiqué, il s’interroge sur la place de la Cena dans le processus électoral qui selon lui, a été incapable de répondre à plusieurs de leurs questions.
Des interrogations qui concernent la clarification du problème des cartes d’identité biométriques ramassées à Kaolack et ailleurs, expliquer pourquoi les listes provisoires comportaient des Nin à 12 chiffres qui ne mentionnaient pas la filiation et le domicile de l’électeur, conformément à la loi électorale, expliquer pourquoi les listes définitives ne comportaient pas la filiation et le domicile conformément à la loi électorale.
Le député est convaincu que la Cena a agi sur instruction du président de l’APR, alors que la loi lui assure une autonomie, elle a de fait été complice de cette mascarade. ‘’Sa présence dans les bureaux ne garantit pas la sincérité des procès-verbaux. Les assises nationales et l’opposition sont favorables à la création d’un organe indépendant pour l’organisation des élections, en même temps qu’une réforme profonde du conseil constitutionnel.
Le Kenya vient de prendre une longueur d’avance dans la quête démocratique en Afrique alors que le président Macky Sall enfonce, de jour en jour, le Sénégal dans les méandres de l’autocratie familiale. Il saute aux yeux que ces élections législatives sont à recommencer’’, assure-t-il.
Des interrogations qui concernent la clarification du problème des cartes d’identité biométriques ramassées à Kaolack et ailleurs, expliquer pourquoi les listes provisoires comportaient des Nin à 12 chiffres qui ne mentionnaient pas la filiation et le domicile de l’électeur, conformément à la loi électorale, expliquer pourquoi les listes définitives ne comportaient pas la filiation et le domicile conformément à la loi électorale.
Le député est convaincu que la Cena a agi sur instruction du président de l’APR, alors que la loi lui assure une autonomie, elle a de fait été complice de cette mascarade. ‘’Sa présence dans les bureaux ne garantit pas la sincérité des procès-verbaux. Les assises nationales et l’opposition sont favorables à la création d’un organe indépendant pour l’organisation des élections, en même temps qu’une réforme profonde du conseil constitutionnel.
Le Kenya vient de prendre une longueur d’avance dans la quête démocratique en Afrique alors que le président Macky Sall enfonce, de jour en jour, le Sénégal dans les méandres de l’autocratie familiale. Il saute aux yeux que ces élections législatives sont à recommencer’’, assure-t-il.