La marche de la coalition Mankoo wattu senegaal est interdite par le préfet de Dakar. Une décision prise conformément à un arrêté pris par Me Ousmane Ngom, ex-ministre de l’Intérieur sous l’administration Wade. Pour le député Mamadou Diop Decroix, “la marche aura bel et bien lieu”, plus question selon lui de reculer devant cette interdiction du préfet de Dakar.
« Combien de fois l’opposition a t-elle décidé de faire une manifestation qui a été interdite. Les organisations de la société civile avaient décidé suite à la mutinerie de Rebeuss de manifester à la place de l’obélisque ce qui avait été interdit. Que l’on ne parle plus d’arrêté. Combien de manifestations ont été prévues hors de cette superficie et qui ont été interdites”, a dit l’opposant, relaient nos confrères de Dakaractu.
Pour le leader du parti And-Jëf/Parti africain pour la démocratie et le socialisme (AJ/PADS), “Depuis 2012 les manifestations sont interdites et les manifestants violentés. Vous avez remarqué que chaque fois qu’une manifestation a été encadrée, elle s’est déroulée de manière pacifique quel que soit le nombre de manifestants. Et chaque fois qu’elle a été interdite, il y a eu grabuge. Donc s’il y a des problèmes dans ce pays demain, sachez où se trouve la responsabilité. Ce sera le pouvoir en place!”, a-t-il averti.
« Combien de fois l’opposition a t-elle décidé de faire une manifestation qui a été interdite. Les organisations de la société civile avaient décidé suite à la mutinerie de Rebeuss de manifester à la place de l’obélisque ce qui avait été interdit. Que l’on ne parle plus d’arrêté. Combien de manifestations ont été prévues hors de cette superficie et qui ont été interdites”, a dit l’opposant, relaient nos confrères de Dakaractu.
Pour le leader du parti And-Jëf/Parti africain pour la démocratie et le socialisme (AJ/PADS), “Depuis 2012 les manifestations sont interdites et les manifestants violentés. Vous avez remarqué que chaque fois qu’une manifestation a été encadrée, elle s’est déroulée de manière pacifique quel que soit le nombre de manifestants. Et chaque fois qu’elle a été interdite, il y a eu grabuge. Donc s’il y a des problèmes dans ce pays demain, sachez où se trouve la responsabilité. Ce sera le pouvoir en place!”, a-t-il averti.