Ce week-end, plusieurs dizaines de jihadistes appartenant au Groupe de soutien à l’Islam et aux musulmans ont été libérés par les autorités maliennes, informent des sources concordantes. Ils auraient été convoyés dans le nord du pays en vue d’un échange avec le chef de l’opposition malienne, Soumaïla Cissé.
Pris en otage par le même groupe jihadiste depuis le mois de mars, en pleine campagne électorale, le leader de l’URD devrait donc incessamment retourner auprès des siens. Sauf extraordinaire...
Pour l’heure, les spéculations vont bon train sur le profil des combattants islamistes relâchés par Bamako. Mais des noms comme celui de l’algérien Tahar Al Jaza’iri connu pour être la boîte noire d’Aqmi au Sahel résonnent. Arreté au mois de mars 2019, lors de l’opération de Barkhane qui a coûté la vie au chef de l’émirat d’Aqmi au Sahara, Yahya Abou El Hamam, cet expert des explosifs pourrait retrouver les siens.
Pris en otage par le même groupe jihadiste depuis le mois de mars, en pleine campagne électorale, le leader de l’URD devrait donc incessamment retourner auprès des siens. Sauf extraordinaire...
Pour l’heure, les spéculations vont bon train sur le profil des combattants islamistes relâchés par Bamako. Mais des noms comme celui de l’algérien Tahar Al Jaza’iri connu pour être la boîte noire d’Aqmi au Sahel résonnent. Arreté au mois de mars 2019, lors de l’opération de Barkhane qui a coûté la vie au chef de l’émirat d’Aqmi au Sahara, Yahya Abou El Hamam, cet expert des explosifs pourrait retrouver les siens.