Après l’élection des membres du Haut Conseil des Collectivités territoriales, la guerre de positionnement fait rage à l’Alliance pour la République.
Le parti au pouvoir créé depuis 8 ans, traverse les moments les plus mouvementés de sa vie. Le parti est secoué par une guerre de légitimité. Selon le journal Enquête qui lui consacre un dossier, l’Apr est miné par la gestion de Dakar et le cas Aliou Sall.
L’on espère que le « patronat de Dakar » s’est encalminé après la volée de bois vert reçue par Abdoulaye Diouf Sarr de la part de certains responsables.
Mais cette affaire a connu un rebondissement, car le ministre de l’Economie a été bombardé « patron de Dakar » selon une parution du Quotidien.
Cependant, du côté des militants du maire de Yoff, ce choix sur l’argentier de l’Etat, ne va pas passer. Selon Ibrahima Fall, proche de Diouf Sarr et membre du directoire de l’Apr, la dynamique enclenchée depuis 2014 avec les militants authentiques, ne sera pas cassée par l’irruption de « quelqu’un qui n’a aucun parcours militant ».
En dehors du background d’Amadou Bâ, le proche de Diouf Sarr estime que le portefeuille entre les mains de l’argentier du pays ne lui permet pas de mener des activités politiques.
En ce qui concerne le cas Aliou Sall, c’est la sortie du ministre de la Jeunesse qui renseigne sur la hausse de température. Le journal Enquête rappelle les propos de Mame Mbaye Niang qui traite le frère de Macky Sall de «militant de la 25ème heure ». Une polémique qui s’ajoute aux déclarations accablantes d’Ousmane Sonko dans l’affaire Petrom Tim.
Malgré ces attaques, certains responsables tentent de défendre le frère du président de la République, comme Lat Diop qui parle « d’acharnement injustifié ».
Une autre plaie dont souffre le parti de Macky Sall, est la communication. Malgré de nombreux réajustements dans l’attelage communicationnel, les sorties médiatiques prouvent que l’Apr a du pain sur la planche. Des voix juxtaposées ne cessent de parasiter la communication gouvernementale Omar Youm ou « l’apériste » Seydou Guèye, difficile de faire le distinguo.
Le Cojer n’est pas en reste, les multiples mouvements qui gravitent autour de la galaxie marron-beige, se prononcent sans pour autant émettre sur la même fréquence. Conséquence, le journal renseigne que l’on est face à un gouvernement trop bavard.
(SeneJet)
Le parti au pouvoir créé depuis 8 ans, traverse les moments les plus mouvementés de sa vie. Le parti est secoué par une guerre de légitimité. Selon le journal Enquête qui lui consacre un dossier, l’Apr est miné par la gestion de Dakar et le cas Aliou Sall.
L’on espère que le « patronat de Dakar » s’est encalminé après la volée de bois vert reçue par Abdoulaye Diouf Sarr de la part de certains responsables.
Mais cette affaire a connu un rebondissement, car le ministre de l’Economie a été bombardé « patron de Dakar » selon une parution du Quotidien.
Cependant, du côté des militants du maire de Yoff, ce choix sur l’argentier de l’Etat, ne va pas passer. Selon Ibrahima Fall, proche de Diouf Sarr et membre du directoire de l’Apr, la dynamique enclenchée depuis 2014 avec les militants authentiques, ne sera pas cassée par l’irruption de « quelqu’un qui n’a aucun parcours militant ».
En dehors du background d’Amadou Bâ, le proche de Diouf Sarr estime que le portefeuille entre les mains de l’argentier du pays ne lui permet pas de mener des activités politiques.
En ce qui concerne le cas Aliou Sall, c’est la sortie du ministre de la Jeunesse qui renseigne sur la hausse de température. Le journal Enquête rappelle les propos de Mame Mbaye Niang qui traite le frère de Macky Sall de «militant de la 25ème heure ». Une polémique qui s’ajoute aux déclarations accablantes d’Ousmane Sonko dans l’affaire Petrom Tim.
Malgré ces attaques, certains responsables tentent de défendre le frère du président de la République, comme Lat Diop qui parle « d’acharnement injustifié ».
Une autre plaie dont souffre le parti de Macky Sall, est la communication. Malgré de nombreux réajustements dans l’attelage communicationnel, les sorties médiatiques prouvent que l’Apr a du pain sur la planche. Des voix juxtaposées ne cessent de parasiter la communication gouvernementale Omar Youm ou « l’apériste » Seydou Guèye, difficile de faire le distinguo.
Le Cojer n’est pas en reste, les multiples mouvements qui gravitent autour de la galaxie marron-beige, se prononcent sans pour autant émettre sur la même fréquence. Conséquence, le journal renseigne que l’on est face à un gouvernement trop bavard.
(SeneJet)