Réunis derrière Ousseynou Ndiaye, Malick Mbodj et Khayat Diouf, la commune de Hann est plus que mobilisée pour dire NON aux autorités par rapport à leur politique d’emploi.
« Nous ne pouvons comprendre que la commune de Hann accueille toutes les grandes sociétés de ce pays dont le Port de Dakar, les directions nationales telles que la SDE, la SENELEC, la Pharmacie Nationale d’Approvisionnement (PNA), l’imprimerie Graphisol, entre autres structures de l’Etat, et qu’aucun jeune ne puisse trouver un quelconque emploi », fait constater Khayat Diouf.
Embouchant la même trompette, Ousseynou Ndiaye descend les autorités en charge de l’emploi et menace. « J’attends que quelqu’un vienne me demander pourquoi j’ai suggéré aux jeunes de ma localité d’essayer avec les embarcations pour ‘’Barça walla Barsax’’. Dès lors qu’on aura tout tenté et qu’aucune porte ne s’ouvre, il y a de quoi aller chercher ailleurs. Constatez avec moi que notre député Ndèye Fatou Diouf a tout tenté, on lui a tout promis, mais jusque-là, les jeunes pataugent dans les difficultés, se marrant à prendre les trois normaux ou à se raconter leur vie qui n’a plus d’orientation. Et pourtant, on a participé victorieusement à toutes les campagnes électorales, mais c’est comme si les jeunes de Hann ne font pas partie des sénégalais désireux de trouver un emploi décent».
Pour Malick Mbodj par contre, « il faut imputer la faute à Cheikh Kanté qui n’a cessé de nous promettre jusqu’à son départ de la tête du Port. Si nous sommes restés jusque-là sans rien voir, c’est qu’on avait cru en lui. Il nous avait dit que comme le Port se trouve dans le périmètre communal de Hann, rien ne doit se faire ou se décider sans pour autant que les jeunes n’aient leur quota. Et qu’au lieu d’aller recruter d’autres jeunes d’autres localités, charité bien ordonnée commençant par soi-même, ce sont les jeunes de l’honorable député Ndèye Fatou Diouf qui doivent en être les premiers bénéficiaires ». Dans tous les cas, cette conférence de presse aura l’allure d’une petite rébellion pour que les préoccupations des jeunes soient prises en considération par qui de devoir.
« Nous ne pouvons comprendre que la commune de Hann accueille toutes les grandes sociétés de ce pays dont le Port de Dakar, les directions nationales telles que la SDE, la SENELEC, la Pharmacie Nationale d’Approvisionnement (PNA), l’imprimerie Graphisol, entre autres structures de l’Etat, et qu’aucun jeune ne puisse trouver un quelconque emploi », fait constater Khayat Diouf.
Embouchant la même trompette, Ousseynou Ndiaye descend les autorités en charge de l’emploi et menace. « J’attends que quelqu’un vienne me demander pourquoi j’ai suggéré aux jeunes de ma localité d’essayer avec les embarcations pour ‘’Barça walla Barsax’’. Dès lors qu’on aura tout tenté et qu’aucune porte ne s’ouvre, il y a de quoi aller chercher ailleurs. Constatez avec moi que notre député Ndèye Fatou Diouf a tout tenté, on lui a tout promis, mais jusque-là, les jeunes pataugent dans les difficultés, se marrant à prendre les trois normaux ou à se raconter leur vie qui n’a plus d’orientation. Et pourtant, on a participé victorieusement à toutes les campagnes électorales, mais c’est comme si les jeunes de Hann ne font pas partie des sénégalais désireux de trouver un emploi décent».
Pour Malick Mbodj par contre, « il faut imputer la faute à Cheikh Kanté qui n’a cessé de nous promettre jusqu’à son départ de la tête du Port. Si nous sommes restés jusque-là sans rien voir, c’est qu’on avait cru en lui. Il nous avait dit que comme le Port se trouve dans le périmètre communal de Hann, rien ne doit se faire ou se décider sans pour autant que les jeunes n’aient leur quota. Et qu’au lieu d’aller recruter d’autres jeunes d’autres localités, charité bien ordonnée commençant par soi-même, ce sont les jeunes de l’honorable député Ndèye Fatou Diouf qui doivent en être les premiers bénéficiaires ». Dans tous les cas, cette conférence de presse aura l’allure d’une petite rébellion pour que les préoccupations des jeunes soient prises en considération par qui de devoir.