Macky Sall mène tous les combats pour imposer une gouvernance en phase avec les normes et les règles. Il clame partout sa volonté de mener une lutte farouche contre la prédation des finances publiques et la corruption. Mais des scandales éclatent souvent et met sa gouvernance dos au mur. Alors qu’on a pas fini de parler du scandale de 5 milliards perçus par les avocat de l’Etat dans sa transaction avec Arcelor Mittal, que se révèle un autre scandale entre le Ministère de l’Economie, des Finances et du Plan et la Compagnie ouest-africaine de Crédit-bail, à partir d’un pacte nébuleux mené hors circuit réglementaire. Cette affaire dont il a été bien informé, le met dans un état normal de colère. Il en est indisposé.
Une certaine opinion publique et l’opposition ont crié et crient toujours encore au scandale avec Pétro-Tim, provoquant une polémique interminable sur le Pétrole, et par ricochet sur l’ensemble des ressources minières du Sénégal. Pour taire la polémique, le Premier ministre est monté au front et a publié en vain des contrats pétroliers qui ne semblent pas convaincre.
Un autre scandale avec l’établissement de Micro-finance éclate avec des ramifications qui interpellent l’Etat du Sénégal au même moment où se pose le problème du paiement de l’impôt qui suppose un privilège fiscal accordé à certains détenteurs de fortunes et certains grands industriels nationaux et même internationaux. La liste des scandales ne cesse ainsi de s’allonger et la plupart pose un grand problème d’une gouvernance souvent désinvolte en marge de la loi.
Aujourd’hui, c’est à un niveau insoupçonné qu’éclate un scandale, le Ministère de l’Economie, des Finances et du Plan, tenu par le très technocrate Amadou Ba dont le nom est gravement cité dans cette affaire. Ce scandale serait parti d’un emprunt obligataire et dans la transaction, l’Autorité suprême du Ministère aurait traité avec la compagnie bancaire Afreximbank non directement, mais avec la Compagnie ouest-africaine de Crédit-Bail qui en bénéficie d’une commission gigantesque dont le montant n’est pas encore donné.
Les raisons de la mise en selle d’un intermédiaire et non d’un traitement direct avec une compagnie bancaire sans respect du circuit normal. Le scandale est monstrueux en raison du nom de la personnalité cité et du contexte dans lequel Macky Sall a déclaré urbi et orbi que l’ère de la gestion scandaleuse des finances publiques est révolue.
L’Etat dont Macky Sall est le chef est le gérant des biens du peuple qu’il doit administrer en vue du bien commun. Cette obligation contraste avec la lutte contre la prédation des finances publiques, la corruption, la concussion et ces scandales qui ne cessent d’éclater. Mais le Président Macky Sall a-t-il les coudées franches pour sévir ? C’est la grande question car ces scandales sont souvent des cas de corruption dont des noms de personnalités qui lui sont proches évoqués.
Ce qui indispose Macky Sall, selon un responsable APR, est que ces scandales qui puent la corruption trahissent son discours, les principes de la morale et les normes de la justice sociale. Ils compromettent l’image de son régime, l’intérêt national et le fonctionnement correct de l’Etat en influant négativement sur le rapport entre les citoyens et lui.
Macky Sall serait souvent interpellé par les partenaires du Sénégal sur certains cas de scandale. Mais il est conscient que ces scandales fortement médiatisés introduisent dans l’esprit public une méfiance accrue à l’égard de son parti et surtout de son régime. Tous ces scandales sont des requêtes malsaines entre acteurs dont les masquent finissent toujours par tomber.
Une certaine opinion publique et l’opposition ont crié et crient toujours encore au scandale avec Pétro-Tim, provoquant une polémique interminable sur le Pétrole, et par ricochet sur l’ensemble des ressources minières du Sénégal. Pour taire la polémique, le Premier ministre est monté au front et a publié en vain des contrats pétroliers qui ne semblent pas convaincre.
Un autre scandale avec l’établissement de Micro-finance éclate avec des ramifications qui interpellent l’Etat du Sénégal au même moment où se pose le problème du paiement de l’impôt qui suppose un privilège fiscal accordé à certains détenteurs de fortunes et certains grands industriels nationaux et même internationaux. La liste des scandales ne cesse ainsi de s’allonger et la plupart pose un grand problème d’une gouvernance souvent désinvolte en marge de la loi.
Aujourd’hui, c’est à un niveau insoupçonné qu’éclate un scandale, le Ministère de l’Economie, des Finances et du Plan, tenu par le très technocrate Amadou Ba dont le nom est gravement cité dans cette affaire. Ce scandale serait parti d’un emprunt obligataire et dans la transaction, l’Autorité suprême du Ministère aurait traité avec la compagnie bancaire Afreximbank non directement, mais avec la Compagnie ouest-africaine de Crédit-Bail qui en bénéficie d’une commission gigantesque dont le montant n’est pas encore donné.
Les raisons de la mise en selle d’un intermédiaire et non d’un traitement direct avec une compagnie bancaire sans respect du circuit normal. Le scandale est monstrueux en raison du nom de la personnalité cité et du contexte dans lequel Macky Sall a déclaré urbi et orbi que l’ère de la gestion scandaleuse des finances publiques est révolue.
L’Etat dont Macky Sall est le chef est le gérant des biens du peuple qu’il doit administrer en vue du bien commun. Cette obligation contraste avec la lutte contre la prédation des finances publiques, la corruption, la concussion et ces scandales qui ne cessent d’éclater. Mais le Président Macky Sall a-t-il les coudées franches pour sévir ? C’est la grande question car ces scandales sont souvent des cas de corruption dont des noms de personnalités qui lui sont proches évoqués.
Ce qui indispose Macky Sall, selon un responsable APR, est que ces scandales qui puent la corruption trahissent son discours, les principes de la morale et les normes de la justice sociale. Ils compromettent l’image de son régime, l’intérêt national et le fonctionnement correct de l’Etat en influant négativement sur le rapport entre les citoyens et lui.
Macky Sall serait souvent interpellé par les partenaires du Sénégal sur certains cas de scandale. Mais il est conscient que ces scandales fortement médiatisés introduisent dans l’esprit public une méfiance accrue à l’égard de son parti et surtout de son régime. Tous ces scandales sont des requêtes malsaines entre acteurs dont les masquent finissent toujours par tomber.