Ceux qui pensaient hériter de SENELEC au gré d’une nomination comme ministre de Mouhamadou Makhtar Cissé, ont dû rapidement déchanter, à l'image de baudruches dégonflées, trompés qu'ils ont été, par la science infuse et imprévisible du Premier ministre. Alors, la seule arme déloyale qui restait, était d’essayer de frapper en deçà de la ceinture le DG de SENELEC, connu pour sa discrétion, avec un stratagème médiatique ourdi, après le remaniement ministériel, pour essayer de dévaloriser l’image de marque d’un manager hors pair qui a fait ses preuves. Disons-le net, c’est raté…
Leral.net tient de sources sûres que ce sont ces mêmes prétendants à la direction de la SENELEC, mis devant le fait accompli de sa non nomination comme ministre, comme des sous-marins de la deuxième guerre mondiale, qui ont armé leurs torpilles obsolètes pour essayer de descendre Mouhamadou Makhtar Cissé.
Qui comme comme on le sait, est protégée par la cuirasse de sa compétence et de et sa probité morale au niveau de l’administration sénégalaise, partout où il est passé, aussi bien à la Douanes qu’à la SENELEC.
Tant certains prédateurs de postes, avides de sinécures et agissant dans l'ombre, à pas feutrés, pensaient que Mouhamadou Makhtar Cissé allait être ministre après la défaite d'Oumar Sarr à Dagana. Certains, avec leurs langues fourchues, avaient ainsi commencé à saliver sur le poste de DG de Senelec, mais, finalement ils ont été électrocutés par la surprise de sa non nomination et de son maintien à la SENELEC.
Et stratégiquement, quoi de plus logique que ce choix, quand aujourd’hui, le Sénégal pays est passé de « 900 heures de coupures d’électricité en 2011, à 85 heures en 2014, 76 heures pour 2015 et seulement 66 heures pour 2016 ».
Ce redressement du secteur s’est traduit notamment par une baisse des prix de l’électricité de 10 à 15% pour près de 860 000 clients de la SENELEC.
Ce n’est pas un sacrilège que de dire que Mouhamadou Makhtar Cissé a été incontestablement, la cheville ouvrière de la révolution faite pour améliorer le système de transport et de distribution de l'électricité. Et c’est cela d'ailleurs qui a permis un renforcement significatif de la qualité du service, de réduire les pertes et d’améliorer la situation de la SENELEC.
Reprendre SENELEC en 2017 pourrait même relever de la gageure pour tout autre prétendant à ce poste, tant la barre a été hissée haut, très haut. En effet, cette société est en train d’aller de mieux en mieux et s’essaie même à des innovations technologiques, avec le lancement officiell du démarrage des activités de la société Akilee S.A (une société technologique de services énergétiques). Cette nouvelle filiale de la Senelec, Akilee s’appuie à la fois sur les nouvelles technologies, notamment l’internet des objets, l’efficacité énergétique et les énergies renouvelables.
Face à cette évidence en marche, alors, pourquoi ne pas balancer quelques subtilités d'un rapport de l'Agence de Régulation des Marchés Publics au Sénégal ( ARMP). Histoire de court-circuiter le DG de la SENELEC, mais ce dernier, en bon walo-walo qui se respecte, est plus solide que ça. Cette pique aura eu en tout cas, le mérite de démontrer une certaine transparence dans la gestion de la SENELEC.
D'ailleurs, certains Daganois ont même battu le macadam, critiquant le fait qu’il ne soit pas nommé ministre, mais, les Walo-walo, dans leur loyauté légendaire, ne se doutaient pas que derrière, certains « zombies », dans leur sombre traquenard, ne voyaient que le fauteuil de DG de Senelec.
Et c’est peine perdue, car beaucoup ne semblent pas décrypter à sa juste mesure la confiance placée par le Président Macky Sall en Mouhamadou Makhtar Cissé, qui a fait ses preuves à la SENELEC, et c'est le moins qu'on puisse dire.
Ce n’est pour rien que Farba Ngom, dernièrement, dans un entretien avecL’AS, avait cité en exemple et rendu hommage à Mouhamadou Makhtar Cissé pour son travail excellent et surtout, sa discrétion et ne réclamant rien du tout.
Une chose est sûre aujourd’hui au Sénégal, personne ne peut contester la compétence et le sens du devoir et du travail du DG de la SENELEC. Weddi guiss bokoussi. Abdoulaye Wade le sait et Macky Sall aussi.
Avocat et énarque, avec un cursus de génie, Makhtar Cissé a la légitimité technique et technocratique qui ont fait de lui une «bête de travail» intransigeante, qui a eu des résultats convaincants partout où il est passé dans l’administration sénégalaise.
Et c’est pourquoi Macky Sall l’avait nommé ministre délégué chargé du Budget dans le gouvernement d’Aminata Touré, avant de lui faire quitter cette station pour l’affecter dans le secteur complexe de la SENELEC. Et Macky Sall n’a pas été déçu.
Et, dès son arrivée, Makhtar Cissé a su impulser un management qualificatif et efficient, qui a impacté les résultats de la SENELEC. Alors pourquoi alors souhaiter qu’il soit nommé ministre pour que des arrivistes en chef viennent prendre sa place. Doyna war si ce n'est pas du lambi golo, c'est vraiment du Ndoumbélane attitude.
Le pire dans cette sombre affaire, c'est la lumière qui est projetée sur ce commis d'Etat d'exception, qui allergique aux spots et autres strass et paillettes, n'aspire qu'à travailler pour le bien-être de sa communauté, de son pays, en toute modestie, en toute discrétion. Yermandé !
La rédaction de Leral.net
Leral.net tient de sources sûres que ce sont ces mêmes prétendants à la direction de la SENELEC, mis devant le fait accompli de sa non nomination comme ministre, comme des sous-marins de la deuxième guerre mondiale, qui ont armé leurs torpilles obsolètes pour essayer de descendre Mouhamadou Makhtar Cissé.
Qui comme comme on le sait, est protégée par la cuirasse de sa compétence et de et sa probité morale au niveau de l’administration sénégalaise, partout où il est passé, aussi bien à la Douanes qu’à la SENELEC.
Tant certains prédateurs de postes, avides de sinécures et agissant dans l'ombre, à pas feutrés, pensaient que Mouhamadou Makhtar Cissé allait être ministre après la défaite d'Oumar Sarr à Dagana. Certains, avec leurs langues fourchues, avaient ainsi commencé à saliver sur le poste de DG de Senelec, mais, finalement ils ont été électrocutés par la surprise de sa non nomination et de son maintien à la SENELEC.
Et stratégiquement, quoi de plus logique que ce choix, quand aujourd’hui, le Sénégal pays est passé de « 900 heures de coupures d’électricité en 2011, à 85 heures en 2014, 76 heures pour 2015 et seulement 66 heures pour 2016 ».
Ce redressement du secteur s’est traduit notamment par une baisse des prix de l’électricité de 10 à 15% pour près de 860 000 clients de la SENELEC.
Ce n’est pas un sacrilège que de dire que Mouhamadou Makhtar Cissé a été incontestablement, la cheville ouvrière de la révolution faite pour améliorer le système de transport et de distribution de l'électricité. Et c’est cela d'ailleurs qui a permis un renforcement significatif de la qualité du service, de réduire les pertes et d’améliorer la situation de la SENELEC.
Reprendre SENELEC en 2017 pourrait même relever de la gageure pour tout autre prétendant à ce poste, tant la barre a été hissée haut, très haut. En effet, cette société est en train d’aller de mieux en mieux et s’essaie même à des innovations technologiques, avec le lancement officiell du démarrage des activités de la société Akilee S.A (une société technologique de services énergétiques). Cette nouvelle filiale de la Senelec, Akilee s’appuie à la fois sur les nouvelles technologies, notamment l’internet des objets, l’efficacité énergétique et les énergies renouvelables.
Face à cette évidence en marche, alors, pourquoi ne pas balancer quelques subtilités d'un rapport de l'Agence de Régulation des Marchés Publics au Sénégal ( ARMP). Histoire de court-circuiter le DG de la SENELEC, mais ce dernier, en bon walo-walo qui se respecte, est plus solide que ça. Cette pique aura eu en tout cas, le mérite de démontrer une certaine transparence dans la gestion de la SENELEC.
D'ailleurs, certains Daganois ont même battu le macadam, critiquant le fait qu’il ne soit pas nommé ministre, mais, les Walo-walo, dans leur loyauté légendaire, ne se doutaient pas que derrière, certains « zombies », dans leur sombre traquenard, ne voyaient que le fauteuil de DG de Senelec.
Et c’est peine perdue, car beaucoup ne semblent pas décrypter à sa juste mesure la confiance placée par le Président Macky Sall en Mouhamadou Makhtar Cissé, qui a fait ses preuves à la SENELEC, et c'est le moins qu'on puisse dire.
Ce n’est pour rien que Farba Ngom, dernièrement, dans un entretien avecL’AS, avait cité en exemple et rendu hommage à Mouhamadou Makhtar Cissé pour son travail excellent et surtout, sa discrétion et ne réclamant rien du tout.
Une chose est sûre aujourd’hui au Sénégal, personne ne peut contester la compétence et le sens du devoir et du travail du DG de la SENELEC. Weddi guiss bokoussi. Abdoulaye Wade le sait et Macky Sall aussi.
Avocat et énarque, avec un cursus de génie, Makhtar Cissé a la légitimité technique et technocratique qui ont fait de lui une «bête de travail» intransigeante, qui a eu des résultats convaincants partout où il est passé dans l’administration sénégalaise.
Et c’est pourquoi Macky Sall l’avait nommé ministre délégué chargé du Budget dans le gouvernement d’Aminata Touré, avant de lui faire quitter cette station pour l’affecter dans le secteur complexe de la SENELEC. Et Macky Sall n’a pas été déçu.
Et, dès son arrivée, Makhtar Cissé a su impulser un management qualificatif et efficient, qui a impacté les résultats de la SENELEC. Alors pourquoi alors souhaiter qu’il soit nommé ministre pour que des arrivistes en chef viennent prendre sa place. Doyna war si ce n'est pas du lambi golo, c'est vraiment du Ndoumbélane attitude.
Le pire dans cette sombre affaire, c'est la lumière qui est projetée sur ce commis d'Etat d'exception, qui allergique aux spots et autres strass et paillettes, n'aspire qu'à travailler pour le bien-être de sa communauté, de son pays, en toute modestie, en toute discrétion. Yermandé !
La rédaction de Leral.net