Le débat public a été fortement marqué, ces derniers temps, par la question pétrolière. En effet, le Sénégal a eu l’agréable surprise d’apprendre la découverte de pétrole et de gaz dans son sous-sol. Mais, les sénégalais peinent à connaitre la part véritable que notre pays aura dans ces ressources. Le Premier ministre a tenté de répondre à cette question, ce jeudi, à l'hémicycle.
«Aujourd’hui, on parle de pourcentage. Dans le code pétrolier, ce qui règlemente l’exploration diffère de ce qui règlemente la production. Une fois qu’on a trouvé, et qu’on met en œuvre, comment se fait le partage ? Parce que ce qui est signé, ce sont des contrats de production et de partage. Dans ces contrats, l’opérateur sort ses frais et le reste est partagé. Il s’agira du pétrole national et nous pouvons aller jusqu’à plus de 50% de fait dans les ressources qui seront générées. Et c’est cela la loi. C’est ce qui est écrit dans le code pétrolier de 98», a indiqué le Premier ministre. «Donc quelqu’un peut venir investir et trouver. Mais s’il trouve quand il passe en production, notre part est supérieure à la sienne, lui qui a investi et trouvé. Nous pouvons aller jusqu’à 54% voire plus. Et c’est ce qui sera fait», assure le chef du gouvernement.
Seneweb.com
«Aujourd’hui, on parle de pourcentage. Dans le code pétrolier, ce qui règlemente l’exploration diffère de ce qui règlemente la production. Une fois qu’on a trouvé, et qu’on met en œuvre, comment se fait le partage ? Parce que ce qui est signé, ce sont des contrats de production et de partage. Dans ces contrats, l’opérateur sort ses frais et le reste est partagé. Il s’agira du pétrole national et nous pouvons aller jusqu’à plus de 50% de fait dans les ressources qui seront générées. Et c’est cela la loi. C’est ce qui est écrit dans le code pétrolier de 98», a indiqué le Premier ministre. «Donc quelqu’un peut venir investir et trouver. Mais s’il trouve quand il passe en production, notre part est supérieure à la sienne, lui qui a investi et trouvé. Nous pouvons aller jusqu’à 54% voire plus. Et c’est ce qui sera fait», assure le chef du gouvernement.
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