Les performances de l’économie sénégalaise se poursuivent au fil des mois. Le Quotidien a pu apprendre que le prochain budget, dont le projet sera soumis au vote des parlementaires à la fin de l’année, devrait connaître une augmentation d’au moins 200 milliards, pour dépasser les 3 200 milliards. Par rapport aux 3 022 milliards du budget en cours d’exécution, l’augmentation est digne d’être soulignée, d’autant plus qu’elle est plus importante que celle connue par le budget en cours par rapport à celui qui l’avait précédé. En effet, en 2015, le budget était de 2 869 milliards, et n’avait augmenté que de 153 milliards.
Parmi les points remarquables de ce budget à venir, il y a 973 milliards de francs de dépenses d’investissement financés sur ressources internes. Montant qui représente 34% du budget destiné au financement de l’investissement. Il est intéressant de le comparer avec les 611 milliards de la Loi de finances initiale de cette année, qui sont la part de financement de l’investissement sur ressources internes. C’est dire que le ministre de l’Economie et des finances, Amadou Ba, fait tout pour respecter sa parole de financer le plus possible les dépenses d’investissement à partir des ressources internes. Ce qui réduit d’autant la dépendance à l’argent de l’étranger.
Selon nos confrères du Quotidien, le déficit budgétaire également est prévu à la baisse. De 4,3% à la fin de l’année budgétaire en cours, les services du ministère prévoient qu’il passe à 3,8% à la fin de l’année prochaine, pour un taux d’inflation de 1%. Ce qui, si cela se réalisait, en ferait le taux le plus bas de la zone Uemoa.
La masse salariale a pu dans tout cela, être maintenue à son niveau actuel, qui est de 572 milliards de francs Cfa, pour 115 000 fonctionnaires, un nombre, là également, jamais atteint auparavant.
Il faut noter que les services du ministère de l’Economie et des finances prévoient également un taux de croissance de 6,6% pour cette année, hors agriculture. C’est dire que le taux de 7% n’est plus une utopie dans le court terme.
Parmi les points remarquables de ce budget à venir, il y a 973 milliards de francs de dépenses d’investissement financés sur ressources internes. Montant qui représente 34% du budget destiné au financement de l’investissement. Il est intéressant de le comparer avec les 611 milliards de la Loi de finances initiale de cette année, qui sont la part de financement de l’investissement sur ressources internes. C’est dire que le ministre de l’Economie et des finances, Amadou Ba, fait tout pour respecter sa parole de financer le plus possible les dépenses d’investissement à partir des ressources internes. Ce qui réduit d’autant la dépendance à l’argent de l’étranger.
Selon nos confrères du Quotidien, le déficit budgétaire également est prévu à la baisse. De 4,3% à la fin de l’année budgétaire en cours, les services du ministère prévoient qu’il passe à 3,8% à la fin de l’année prochaine, pour un taux d’inflation de 1%. Ce qui, si cela se réalisait, en ferait le taux le plus bas de la zone Uemoa.
La masse salariale a pu dans tout cela, être maintenue à son niveau actuel, qui est de 572 milliards de francs Cfa, pour 115 000 fonctionnaires, un nombre, là également, jamais atteint auparavant.
Il faut noter que les services du ministère de l’Economie et des finances prévoient également un taux de croissance de 6,6% pour cette année, hors agriculture. C’est dire que le taux de 7% n’est plus une utopie dans le court terme.