Macky Sall est politiquement à terre ! Son histoire c’est celle d’un homme qui ne réalise pas que son histoire est finie et qu’il est passé à côté ! Il devrait arrêter ses manigances ! C’est une question de décence, de dignité, de « Jöm » et de « sago » !
Occasion ne saurait être plus belle pour les Sénégalais pour le lui faire comprendre que ces élections législatives de dimanche qui devront permettre de voter massivement pour PASTEF afin de donner au pouvoir en place depuis le 24 mars 2024 une majorité confortable à l’Assemblée nationale.
Macky Sall et ses mercenaires masqués ou déclarés nous pompent l’air et l’atmosphère en est à un tel degré de saturation que l’on ne peut plus continuer à se taire et à se boucher les oreilles.
On ne les laissera pas nous divertir ni fragiliser ce Projet ni infléchir la trajectoire de cette dynamique de rupture amorcée depuis le soir du 24 mars 2024 pour des changements qualitatifs, structurels en profondeur de notre pays pour un mieux-être et l’épanouissement de nos populations, particulièrement la jeunesse.
Pour une fois de l’histoire de notre pays, de véritables changements sont possibles et réalisables avec la vision Sénégal 2050, avec ces jeunes aux commandes et avec eux tous les Sénégalais de bonne volonté, chacun dans son domaine de compétence, tous guidés et animés par un besoin de rupture avec tout un système et par des principes de Jub, Jubal, Jubanti, fonk liggey, té bayi togue dikhar muy dokh !
Un système hérité, accaparé, dominé et animé par des individus aux abois qui aujourd’hui sont prêts à mettre en péril tout le pays, quitte à le brûler pour échapper à d’éventuelles poursuites judiciaires ou tout simplement pour retrouver et/ou conserver ad vitam aeternam des privilèges et avantages indus dont ils ont bénéficié et abusé exagérément et très souvent par des malversations et autres pratiques iniques sur lesquelles ils auront indubitablement des comptes à rendre !
Où étaient tous ces individus, politiciens comme journalistes, chroniqueurs ou activistes de l’opposition qui tapent et critiquent à longueur de journée le nouveau pouvoir en place, en lui reprochant à peine installé de ne pas avoir réalisé ou accompli en 5 ou 6 mois ce que Macky Sall leur leader et référence n’a pas su accomplir ni réalisé durant ses 12 ans de règne sans partage à la tête du pays.
Ce pays a produit un individu d’une rare cruauté, sans scrupules, sans noblesse d’âme ni courage et dont la conduite autoritariste, dictatoriale, mégalomaniaque et foncièrement méprisante à l’endroit des Sénégalais traduisait paradoxalement de la couardise et un manque notoire d’empathie et d’honnêteté !
Où étaient toutes ces plumes et ces micro, donneurs de leçons, ces tog ou teudeu mou dox et ces mercenaires sans foi ni loi qui nous pompent l’air depuis que leur gourou a quitté le pouvoir ?
Où étaient-ils pendant ces trois dernières années ? Etaient-ils dans le pays ? Ils devaient certainement dormir à longueur de journée avec des masques de sommeil et des boules quiès pour ne pas voir ni entendre ce qui se passait avec fracas dans le pays !
Avec Macky Sall au pouvoir, on a vécu les pires moments de violence de l’histoire de notre pays ! La violence répressive, policière, judiciaire étatique, que les Sénégalais ont endurée ces trois dernières années a été l’œuvre de la folie autocratique d’un homme et d’une poignée d’affidés.
Où étaient tous ces gens qui occupent l’espace médiatique aujourd’hui pendant qu’une partie de nos compatriotes faisaient -au péril de leur vie- preuve de résistance et de fermeté, de vigilance et de détermination, pour empêcher cet autocrate de Macky Sall ivre de pouvoir d’entraîner dans sa fuite en avant notre pays dans un abîme d’incertitudes, d’instabilité, de déchirements, de violences étatique et judiciaire et de répression policière inouïe, qui auraient pu ouvrir la voie à un saut vers l’inconnu ?
Pourquoi ces attaques concentrées sur Sonko, cet homme qui a su vaillamment s’opposer avec courage, fermeté, détermination, intelligence et finesse en faisant face au monstre mutant, malgré toutes les violences qu’on lui a fait subir, le harcèlement moral, psychologique, les violences physiques, morales et psychologiques, les accusations fallacieuses, les tentatives d’empoisonnement, les brutalités policières qui lui ont été infligées.
Cet opposant d’alors -aujourd’hui Premier ministre de notre pays- même du fond de sa prison, avait su mettre en échec la volonté funeste du despote, tortionnaire et faux « boulanger » qui cherchait avec ruse et hypocrisie à rester encore au pouvoir malgré ses douze ans de règne quasi monarchique mais assurément autocratique !
Macky Sall a fait régner dans ce pays, lors ces trois dernières années une atmosphère de peur et de mort, de deuil et d’injustice, de dépit et de révolte, une odeur âcre et tenace de sang et de mort ! Une tension psychologique générale, une morosité sans nom ! Les populations circulaient au ralenti la boule au ventre, des policiers armés jusqu’aux dents flanqués de leurs impressionnants chars de combats de ville dernière génération, postés à tous les coins de rue, la mine renfrognée !
Ce pays était ainsi scindé en deux : d’un côté ceux qui étaient au pouvoir et alentours, en plus de ces Sénégalais, courtisans dans l’âme, qui ne peuvent concevoir la vie qu’en étant par tous les moyens proches des cercles et couloirs du pouvoir en place quelle qu’en soit la coloration- et de l’autre côté, le gros des populations les Coumba mou amoul ndèye.
Où étaient ces critiques et donneurs de leçons pendant que les hommes de main de Macky Sall massacraient tout obstacle à ses manœuvres, gazaient, bastonnaient, violentaient, arrêtaient, emprisonnaient, torturaient tous ceux qui se dressaient sur son chemin, s’ils réchappaient aux sévices physiques et psychologiques que ses hommes des sales besognes (police ? gendarmerie ? ) et ses nervis leur infligeaient en toute impunité.
Je frémis encore d’indignation en écoutant une à deux fois par semaine en consultation psychologique, l’une de ces victimes, évoquer dans les moindres détails les horreurs et autres abominations qu’on lui a infligées durant quasiment une année.
D’une santé physique générale déclinante à tout point de vue, un cursus à l’université sérieusement et injustement compromis par son arrestation et son embastillement, cet individu est dans un état psychologique de peur permanente avec des crises de panique et une impossibilité maladive de circuler ou de dormir seul depuis qu’il est sorti des geôles de Macky Sall.
La vie quotidienne de ce jeune homme est submergée par le souvenir tenace et terrifiant des atrocités subies lors de son arrestation et de son incarcération ! Cet homme parmi d’autres hommes et femmes, jeunes de ce pays, essaie de se reconstruire. Y parviendra-t-il un jour ?
Nous osons l’espérer mais le souvenir de ce qu’il a subi du régime répressif de Macky Sall restera indélébile, car à jamais gravé dans sa mémoire et dans ses tripes. Il est aujourd’hui encore pris de panique, de tremblements et de suffocation dès qu’il aperçoit même au loin un policier ou un gendarme.
Jamais notre pays n’a été le théâtre de telles violences et jamais nos populations dont notre jeunesse n’ont autant subi d’atrocités et n’ont eu autant mal et autant peur !
Les populations circulaient au ralenti la boule au ventre, des policiers armés jusqu’aux dents flanqués de leurs impressionnants chars de combats de ville dernière génération, postés à tous les coins de rue, la mine renfrognée !
Rien, absolument rien ne doit nous faire rater cette RUPTURE, ce tournant décisif et surtout cette « VISION SENEGAL 2050 » si chargée de perspectives de développements, d’engagements, d’espoirs et de promesses réalistes et réalisables que le Président Bassirou Diomaye Diakhar Faye, son Premier ministre Ousmane Sonko et leur équipe gouvernementale ainsi que PASTEF proposent au pays tout entier comme horizon, objectifs, perspectives et feuille de route. Et ils invitent tous les Sénégalais épris de justice, de paix et aspirant à une souveraineté, à un développement durable et à un Sénégal prospère où il fait bon vivre d’aller voter pour PASTEF dimanche.
Après avoir vaillamment porté Bassirou Diomaye Diakhar Faye à la Présidence de la République en mars 2024, j’invite mes compatriotes à ne pas s’arrêter en si bon chemin ; allons voter massivement dimanche pour PASTEF afin de donner à nos jeunes dirigeants les moyens de travailler à la réalisation des objectifs auxquels ils nous ont invités à adhérer, avec des perspectives à soutenir et à porter !
Si l’on veut sérieusement sortir le Sénégal de son état général très abîmé, des ravages de la mal gouvernance et des malversations de tous ordres, c’est un devoir pour tout Sénégalais lucide, sincère et patriote d’aller voter dimanche pour PASTEF afin de donner à la majorité présidentielle portée au pouvoir en mars 2024 une large majorité de députés à l’Assemblée nationale !
Je ne suis pas membre de Maggui PASTEF ni de PASTEF mais j’ai énormément de sympathie, d’admiration et de respect pour eux pour leur courage, leur clairvoyance et leur détermination !
Je ne suis pas à la recherche -ni dans l’attente- d’un quelconque poste.
Je souhaite intimement et ardemment fêter mes 76 ans dans une dizaine de jours dans une atmosphère générale de lendemains de large victoire de ces jeunes si talentueux et si méritants qu’il faut soutenir et accompagner pour atteindre les objectifs visant à bâtir un Sénégal meilleur dont j’espère voir les prémices dans quelques années avant de quitter ce bas monde !
Mamadou Mbodji - Psychologue
Occasion ne saurait être plus belle pour les Sénégalais pour le lui faire comprendre que ces élections législatives de dimanche qui devront permettre de voter massivement pour PASTEF afin de donner au pouvoir en place depuis le 24 mars 2024 une majorité confortable à l’Assemblée nationale.
Macky Sall et ses mercenaires masqués ou déclarés nous pompent l’air et l’atmosphère en est à un tel degré de saturation que l’on ne peut plus continuer à se taire et à se boucher les oreilles.
On ne les laissera pas nous divertir ni fragiliser ce Projet ni infléchir la trajectoire de cette dynamique de rupture amorcée depuis le soir du 24 mars 2024 pour des changements qualitatifs, structurels en profondeur de notre pays pour un mieux-être et l’épanouissement de nos populations, particulièrement la jeunesse.
Pour une fois de l’histoire de notre pays, de véritables changements sont possibles et réalisables avec la vision Sénégal 2050, avec ces jeunes aux commandes et avec eux tous les Sénégalais de bonne volonté, chacun dans son domaine de compétence, tous guidés et animés par un besoin de rupture avec tout un système et par des principes de Jub, Jubal, Jubanti, fonk liggey, té bayi togue dikhar muy dokh !
Un système hérité, accaparé, dominé et animé par des individus aux abois qui aujourd’hui sont prêts à mettre en péril tout le pays, quitte à le brûler pour échapper à d’éventuelles poursuites judiciaires ou tout simplement pour retrouver et/ou conserver ad vitam aeternam des privilèges et avantages indus dont ils ont bénéficié et abusé exagérément et très souvent par des malversations et autres pratiques iniques sur lesquelles ils auront indubitablement des comptes à rendre !
Où étaient tous ces individus, politiciens comme journalistes, chroniqueurs ou activistes de l’opposition qui tapent et critiquent à longueur de journée le nouveau pouvoir en place, en lui reprochant à peine installé de ne pas avoir réalisé ou accompli en 5 ou 6 mois ce que Macky Sall leur leader et référence n’a pas su accomplir ni réalisé durant ses 12 ans de règne sans partage à la tête du pays.
Ce pays a produit un individu d’une rare cruauté, sans scrupules, sans noblesse d’âme ni courage et dont la conduite autoritariste, dictatoriale, mégalomaniaque et foncièrement méprisante à l’endroit des Sénégalais traduisait paradoxalement de la couardise et un manque notoire d’empathie et d’honnêteté !
Où étaient toutes ces plumes et ces micro, donneurs de leçons, ces tog ou teudeu mou dox et ces mercenaires sans foi ni loi qui nous pompent l’air depuis que leur gourou a quitté le pouvoir ?
Où étaient-ils pendant ces trois dernières années ? Etaient-ils dans le pays ? Ils devaient certainement dormir à longueur de journée avec des masques de sommeil et des boules quiès pour ne pas voir ni entendre ce qui se passait avec fracas dans le pays !
Avec Macky Sall au pouvoir, on a vécu les pires moments de violence de l’histoire de notre pays ! La violence répressive, policière, judiciaire étatique, que les Sénégalais ont endurée ces trois dernières années a été l’œuvre de la folie autocratique d’un homme et d’une poignée d’affidés.
Où étaient tous ces gens qui occupent l’espace médiatique aujourd’hui pendant qu’une partie de nos compatriotes faisaient -au péril de leur vie- preuve de résistance et de fermeté, de vigilance et de détermination, pour empêcher cet autocrate de Macky Sall ivre de pouvoir d’entraîner dans sa fuite en avant notre pays dans un abîme d’incertitudes, d’instabilité, de déchirements, de violences étatique et judiciaire et de répression policière inouïe, qui auraient pu ouvrir la voie à un saut vers l’inconnu ?
Pourquoi ces attaques concentrées sur Sonko, cet homme qui a su vaillamment s’opposer avec courage, fermeté, détermination, intelligence et finesse en faisant face au monstre mutant, malgré toutes les violences qu’on lui a fait subir, le harcèlement moral, psychologique, les violences physiques, morales et psychologiques, les accusations fallacieuses, les tentatives d’empoisonnement, les brutalités policières qui lui ont été infligées.
Cet opposant d’alors -aujourd’hui Premier ministre de notre pays- même du fond de sa prison, avait su mettre en échec la volonté funeste du despote, tortionnaire et faux « boulanger » qui cherchait avec ruse et hypocrisie à rester encore au pouvoir malgré ses douze ans de règne quasi monarchique mais assurément autocratique !
Macky Sall a fait régner dans ce pays, lors ces trois dernières années une atmosphère de peur et de mort, de deuil et d’injustice, de dépit et de révolte, une odeur âcre et tenace de sang et de mort ! Une tension psychologique générale, une morosité sans nom ! Les populations circulaient au ralenti la boule au ventre, des policiers armés jusqu’aux dents flanqués de leurs impressionnants chars de combats de ville dernière génération, postés à tous les coins de rue, la mine renfrognée !
Ce pays était ainsi scindé en deux : d’un côté ceux qui étaient au pouvoir et alentours, en plus de ces Sénégalais, courtisans dans l’âme, qui ne peuvent concevoir la vie qu’en étant par tous les moyens proches des cercles et couloirs du pouvoir en place quelle qu’en soit la coloration- et de l’autre côté, le gros des populations les Coumba mou amoul ndèye.
Où étaient ces critiques et donneurs de leçons pendant que les hommes de main de Macky Sall massacraient tout obstacle à ses manœuvres, gazaient, bastonnaient, violentaient, arrêtaient, emprisonnaient, torturaient tous ceux qui se dressaient sur son chemin, s’ils réchappaient aux sévices physiques et psychologiques que ses hommes des sales besognes (police ? gendarmerie ? ) et ses nervis leur infligeaient en toute impunité.
Je frémis encore d’indignation en écoutant une à deux fois par semaine en consultation psychologique, l’une de ces victimes, évoquer dans les moindres détails les horreurs et autres abominations qu’on lui a infligées durant quasiment une année.
D’une santé physique générale déclinante à tout point de vue, un cursus à l’université sérieusement et injustement compromis par son arrestation et son embastillement, cet individu est dans un état psychologique de peur permanente avec des crises de panique et une impossibilité maladive de circuler ou de dormir seul depuis qu’il est sorti des geôles de Macky Sall.
La vie quotidienne de ce jeune homme est submergée par le souvenir tenace et terrifiant des atrocités subies lors de son arrestation et de son incarcération ! Cet homme parmi d’autres hommes et femmes, jeunes de ce pays, essaie de se reconstruire. Y parviendra-t-il un jour ?
Nous osons l’espérer mais le souvenir de ce qu’il a subi du régime répressif de Macky Sall restera indélébile, car à jamais gravé dans sa mémoire et dans ses tripes. Il est aujourd’hui encore pris de panique, de tremblements et de suffocation dès qu’il aperçoit même au loin un policier ou un gendarme.
Jamais notre pays n’a été le théâtre de telles violences et jamais nos populations dont notre jeunesse n’ont autant subi d’atrocités et n’ont eu autant mal et autant peur !
Les populations circulaient au ralenti la boule au ventre, des policiers armés jusqu’aux dents flanqués de leurs impressionnants chars de combats de ville dernière génération, postés à tous les coins de rue, la mine renfrognée !
Rien, absolument rien ne doit nous faire rater cette RUPTURE, ce tournant décisif et surtout cette « VISION SENEGAL 2050 » si chargée de perspectives de développements, d’engagements, d’espoirs et de promesses réalistes et réalisables que le Président Bassirou Diomaye Diakhar Faye, son Premier ministre Ousmane Sonko et leur équipe gouvernementale ainsi que PASTEF proposent au pays tout entier comme horizon, objectifs, perspectives et feuille de route. Et ils invitent tous les Sénégalais épris de justice, de paix et aspirant à une souveraineté, à un développement durable et à un Sénégal prospère où il fait bon vivre d’aller voter pour PASTEF dimanche.
Après avoir vaillamment porté Bassirou Diomaye Diakhar Faye à la Présidence de la République en mars 2024, j’invite mes compatriotes à ne pas s’arrêter en si bon chemin ; allons voter massivement dimanche pour PASTEF afin de donner à nos jeunes dirigeants les moyens de travailler à la réalisation des objectifs auxquels ils nous ont invités à adhérer, avec des perspectives à soutenir et à porter !
Si l’on veut sérieusement sortir le Sénégal de son état général très abîmé, des ravages de la mal gouvernance et des malversations de tous ordres, c’est un devoir pour tout Sénégalais lucide, sincère et patriote d’aller voter dimanche pour PASTEF afin de donner à la majorité présidentielle portée au pouvoir en mars 2024 une large majorité de députés à l’Assemblée nationale !
Je ne suis pas membre de Maggui PASTEF ni de PASTEF mais j’ai énormément de sympathie, d’admiration et de respect pour eux pour leur courage, leur clairvoyance et leur détermination !
Je ne suis pas à la recherche -ni dans l’attente- d’un quelconque poste.
Je souhaite intimement et ardemment fêter mes 76 ans dans une dizaine de jours dans une atmosphère générale de lendemains de large victoire de ces jeunes si talentueux et si méritants qu’il faut soutenir et accompagner pour atteindre les objectifs visant à bâtir un Sénégal meilleur dont j’espère voir les prémices dans quelques années avant de quitter ce bas monde !
Mamadou Mbodji - Psychologue