Le président de la République Macky Sall a salué jeudi à Praia, "l’exemplarité de la démocratie cap-verdienne" et réaffirmé sa volonté de travailler au renforcement des liens entre le Sénégal et le Cap-Vert, de concert avec son homologue Jorge Carlos De Almeida Fonseca.
"Il était de mon devoir d’honorer les liens d’amitié entre nos deux pays et témoigner l’exemplarité de la démocratie cap-verdienne. Le pays, à l’instar du Sénégal, démontre qu’il est possible d’organiser des élections apaisées, sans contestation", a-t-il notamment indiqué.
Le chef de l’Etat s’adressait à des journalistes, à l’issue de la cérémonie d’investiture du président Jorge Carlos De Almeida Fonseca, réélu début octobre pour un second mandat de cinq ans à la tête du Cap-Vert.
La cérémonie organisée sur l’esplanade de la bibliothèque nationale du Cap-Vert a enregistré la présence des présidents du Mali, de la Guinée Bissau du corps diplomatique et divers représentants d’institutions sous-régionales.
"J’ai été particulièrement touché par le témoignage du président Fonseca à mon endroit et à celui du Sénégal. Cela mérite d’être souligné. Il y a certes l’océan mais nous sommes des voisins et ne sommes séparés que de 700 kilomètres. Nous allons poursuivre le renforcement de nos liens", a déclaré Macky Sall.
Dans son discours d’investiture, le président du Cap-Vert avait auparavant témoigné de la qualité de ses relations amicales avec le président Sall et des liens fraternels entre les populations des deux pays.
"Je jure sur mon honneur de remplir la fonction de président de la République du Cap-Vert, de défendre, honorer et faire respecter la Constitution, les lois et garantir l’intégrité du territoire et l’indépendance nationale", a-t-il dit sous le bruit des coups de canon de la garde nationale.
Cette cérémonie protocolaire tenue sous une tente érigée sur l’esplanade de la bibliothèque nationale s’est déroulée sous forme session spéciale de l’Assemblée nationale capverdienne, dont le président a dirigé les débats du début à la fin.
Le président Fonseca s’est ainsi engagé à poursuivre ses efforts en faveur du renforcement de la démocratie, de la réduction des inégalités par une accélération de la croissance économique. Il a également promis de faire de la sécurité "un important défi à relever".
Né au Cap-Vert dans la ville de Mindélo en 1950, le président capverdien qui entame un second mandat à la tête de son pays, a milité pour l’indépendance du pays dès l’âge de dix-sept ans dans les structures clandestines du PAIGC (Parti africain de l’indépendance de la Guinée Bissau et du Cap Vert).
Un parti qu’il a par la suite quitté pour créer dès 1979 les Cercles cap-verdiennes pour la démocratie et plus tard la Ligue cap-verdienne des droits de l’homme.
Ce chercheur en droit pénal a également été directeur général de l’émigration et des services consulaires du ministère des Affaires étrangères et premier secrétaire général de ce ministère.
"Il était de mon devoir d’honorer les liens d’amitié entre nos deux pays et témoigner l’exemplarité de la démocratie cap-verdienne. Le pays, à l’instar du Sénégal, démontre qu’il est possible d’organiser des élections apaisées, sans contestation", a-t-il notamment indiqué.
Le chef de l’Etat s’adressait à des journalistes, à l’issue de la cérémonie d’investiture du président Jorge Carlos De Almeida Fonseca, réélu début octobre pour un second mandat de cinq ans à la tête du Cap-Vert.
La cérémonie organisée sur l’esplanade de la bibliothèque nationale du Cap-Vert a enregistré la présence des présidents du Mali, de la Guinée Bissau du corps diplomatique et divers représentants d’institutions sous-régionales.
"J’ai été particulièrement touché par le témoignage du président Fonseca à mon endroit et à celui du Sénégal. Cela mérite d’être souligné. Il y a certes l’océan mais nous sommes des voisins et ne sommes séparés que de 700 kilomètres. Nous allons poursuivre le renforcement de nos liens", a déclaré Macky Sall.
Dans son discours d’investiture, le président du Cap-Vert avait auparavant témoigné de la qualité de ses relations amicales avec le président Sall et des liens fraternels entre les populations des deux pays.
"Je jure sur mon honneur de remplir la fonction de président de la République du Cap-Vert, de défendre, honorer et faire respecter la Constitution, les lois et garantir l’intégrité du territoire et l’indépendance nationale", a-t-il dit sous le bruit des coups de canon de la garde nationale.
Cette cérémonie protocolaire tenue sous une tente érigée sur l’esplanade de la bibliothèque nationale s’est déroulée sous forme session spéciale de l’Assemblée nationale capverdienne, dont le président a dirigé les débats du début à la fin.
Le président Fonseca s’est ainsi engagé à poursuivre ses efforts en faveur du renforcement de la démocratie, de la réduction des inégalités par une accélération de la croissance économique. Il a également promis de faire de la sécurité "un important défi à relever".
Né au Cap-Vert dans la ville de Mindélo en 1950, le président capverdien qui entame un second mandat à la tête de son pays, a milité pour l’indépendance du pays dès l’âge de dix-sept ans dans les structures clandestines du PAIGC (Parti africain de l’indépendance de la Guinée Bissau et du Cap Vert).
Un parti qu’il a par la suite quitté pour créer dès 1979 les Cercles cap-verdiennes pour la démocratie et plus tard la Ligue cap-verdienne des droits de l’homme.
Ce chercheur en droit pénal a également été directeur général de l’émigration et des services consulaires du ministère des Affaires étrangères et premier secrétaire général de ce ministère.