Des recoupements de nos radars, il ressort que Macky Sall " qui a été formé à bonne école par qui vous savez, ne fait rien pour rien". Autrement dit, il a bien maitrisé les subtilités des manoeuvres politico-politiciennes sous la férule de l'ancien Président Abdoulaye Wade. Lequel, en véritable bête politique, est connu par son "art de diviser pour mieux régner".
Et, Macky n'est pas sans savoir que l'alliance que d'aucuns appellent prosaiquement "la bande à Decroix" , allusion faite à cette coalition de leaders de l'opposition (dont Djibo Ka faisait partie) va "faire mal". Après avoir cogité, le chef de file de l'APR a cru nécessaire de diviser cette coalition en gestation. Qui s'apprête à aller en croisade contre lui, lors des échèances de 2017.
Avec autant d'energie et plus de tact , Macky a donc enfilé sa casquette de "bête politique" pour aller "casser cette dynamique en enrôlant Djibo Ka". Lequel, a d'abord rusé en se rendant nuitamment chez Decroix pour lui faire croire qu'il a envoyé ballader Macky Sall. Lequel, lui a proposé le maroquin de ministre d'Etat en charge des affaires du téléphone. Decroix a t'il gobé les "assurances" de Djibo de rester dans l'opposition? Nous n'en savons rien. En tous les cas, il a recu le leader de l'URD tard dans la soirée peu après le départ du Président Sall, qui s'est nuitamment rendu aux Almadies chez lui. Ce, après lui avoir fait les yeux doux , à haute et intelligible voix, au vu et au su de toute l'assistance qui avait rehaussé de sa présence le fameux cérémonial d'inauguration du siège de Sonatel sur la VDN. Ce jour là, Macky demandait à Djibo Ka de rejoindre le régime aux fins d'y faire valoir ses aptitudes notamment en télécommunications. Le Président avait alors promis de passer voir le chef de file de l'URD. Ce qu'il fit quelques jours plus tard. La suite est connue.
Et, des informations glanées de nos informateurs, au fait des tractations en "haut lieu", Macky ne "veut pas de Djibo". Mais, il a juste besoin de phagocyter en douceur ses rivaux les plus sérieux, particulièrement ces leaders de l'opposition réunis dans cette coalition. Il nous revient d'ailleurs que l'actuel locataire du Palais Présidentiel a dans sa ligne de mire d'autres figures de proue de cette coalition encore en gestation. "Je vous dis, d'autres vont suivre Djibo Ka" nous souffle t'on.
De ces proches du chef de file de l'APR, il ressort que Macky, qui, en tant que Président de la République, "donc assez renseigné, bien informé sur les uns et les autres, particulièrement sur leurs forces et faiblesses, mais aussi les casseroles qu'ils trainent," a les coudées franches. Devenu aguerri, "homme fort du pays", Macky sait transformer les obstacles qu'il rencontre en marchepieds.
En somme, Macky ne laissera aucun répit à l'opposition, autrement dit, souhaitant ardemment rempiler à la magistrature suprême, il n'entend point les laisser incarner à merveille une opposition forte à même de lui chiper son convoité maroquin.
Le temps, meileur juge, nous édifiera bien...
Et, Macky n'est pas sans savoir que l'alliance que d'aucuns appellent prosaiquement "la bande à Decroix" , allusion faite à cette coalition de leaders de l'opposition (dont Djibo Ka faisait partie) va "faire mal". Après avoir cogité, le chef de file de l'APR a cru nécessaire de diviser cette coalition en gestation. Qui s'apprête à aller en croisade contre lui, lors des échèances de 2017.
Avec autant d'energie et plus de tact , Macky a donc enfilé sa casquette de "bête politique" pour aller "casser cette dynamique en enrôlant Djibo Ka". Lequel, a d'abord rusé en se rendant nuitamment chez Decroix pour lui faire croire qu'il a envoyé ballader Macky Sall. Lequel, lui a proposé le maroquin de ministre d'Etat en charge des affaires du téléphone. Decroix a t'il gobé les "assurances" de Djibo de rester dans l'opposition? Nous n'en savons rien. En tous les cas, il a recu le leader de l'URD tard dans la soirée peu après le départ du Président Sall, qui s'est nuitamment rendu aux Almadies chez lui. Ce, après lui avoir fait les yeux doux , à haute et intelligible voix, au vu et au su de toute l'assistance qui avait rehaussé de sa présence le fameux cérémonial d'inauguration du siège de Sonatel sur la VDN. Ce jour là, Macky demandait à Djibo Ka de rejoindre le régime aux fins d'y faire valoir ses aptitudes notamment en télécommunications. Le Président avait alors promis de passer voir le chef de file de l'URD. Ce qu'il fit quelques jours plus tard. La suite est connue.
Et, des informations glanées de nos informateurs, au fait des tractations en "haut lieu", Macky ne "veut pas de Djibo". Mais, il a juste besoin de phagocyter en douceur ses rivaux les plus sérieux, particulièrement ces leaders de l'opposition réunis dans cette coalition. Il nous revient d'ailleurs que l'actuel locataire du Palais Présidentiel a dans sa ligne de mire d'autres figures de proue de cette coalition encore en gestation. "Je vous dis, d'autres vont suivre Djibo Ka" nous souffle t'on.
De ces proches du chef de file de l'APR, il ressort que Macky, qui, en tant que Président de la République, "donc assez renseigné, bien informé sur les uns et les autres, particulièrement sur leurs forces et faiblesses, mais aussi les casseroles qu'ils trainent," a les coudées franches. Devenu aguerri, "homme fort du pays", Macky sait transformer les obstacles qu'il rencontre en marchepieds.
En somme, Macky ne laissera aucun répit à l'opposition, autrement dit, souhaitant ardemment rempiler à la magistrature suprême, il n'entend point les laisser incarner à merveille une opposition forte à même de lui chiper son convoité maroquin.
Le temps, meileur juge, nous édifiera bien...