« Aujourd’hui, on a mis les germes d’une crise, d’un chaos et on se permet de danser en plus », cogne Boubacar Camara, le président du mouvement ‘’Jengu’’ candidat déclaré à la présidentielle de 2019.
« C’est la danse du scalp, alerte l’invité de l’émission « Objection » de Sud fm. Celle que pratiquait les indiens d’Amérique qui arrachaient le crâne de leurs ennemis jusqu’au cuir chevelu et qui l’agitaient ».
Auteur: Dié BA - Seneweb.com