Macky Sall est ferme et les enseignants sont avertis. L’Etat du Sénégal ne badinera plus avec les syndicalistes qui ont opté pour la rétention des notes en guise de protestation et les acteurs de la santé (médecins et autres) qui sont en mouvement de grève. Profitant de la remise du rapport du Haut conseil du dialogue social, cet après-midi, au Palais de la République, le chef de l’Etat s’est félicité de la signature du pacte national de stabilité sociale et économique entre les centrales syndicales, les organisations des employeurs et le gouvernement qui « ont instauré trois ans de trêve ». Seulement, le chef de l’Etat prend cette décision avec des pincettes. « Si nous disons la vérité en réalité il n’y a pas de trêve. En tout cas, il n’y en a pas dans le secteur public », a dit le chef de l’Etat avant de poursuivre : « Je vais féliciter le secteur privé qui au moins a connu une accalmie ».
Ainsi, Macky Sall a invité « très fraternellement les acteurs sociaux et les syndicalistes en particulier dans le domaine de l’éducation et de la santé à arrêter tous les mouvements de grève ». Mieux, il hausse le ton : « Nous ne pouvons plus continuer. Tout le monde sait les efforts que l’Etat du Sénégal a faits pour rendre ce secteur dynamique. Tous les moyens possibles ont été mis à leur disposition ». Se voulant plus précis, il fait savoir que le secteur de l’éducation reçoit 500 milliards de francs Cfa par an. « Donc on ne peut plus continuer à voir l’école détruite comme ça par l’instabilité chronique. Nous invitions les acteurs à prendre conscience de la gravité de l’heure », dit-il.
« Le gouvernement prendra toutes les dispositions pour assurer la disponibilité des notes de l’ensemble des élèves du Sénégal »
Irrité, le président de la République entend régler ce problème une bonne fois. « Autrement, nous sommes obligés de prendre les mesures qu’imposera la situation. On ne peut pas sacrifier l’avenir des enfants alors que l’Etat a tout donné. On ne peut pas continuer comme ça », a martelé le Président Sall avant de poursuivre : « Moi, j’ai déjà instruit le gouvernement de prendre les dispositions pour assurer la disponibilité des notes pour l’ensemble des élèves du Sénégal ». Et il en est de même pour le secteur de la santé, car Macky soutient qu’il va prendre toutes les mesures pour assurer la santé des populations. Quitte à faire des réquisitions.
jotay.net
Ainsi, Macky Sall a invité « très fraternellement les acteurs sociaux et les syndicalistes en particulier dans le domaine de l’éducation et de la santé à arrêter tous les mouvements de grève ». Mieux, il hausse le ton : « Nous ne pouvons plus continuer. Tout le monde sait les efforts que l’Etat du Sénégal a faits pour rendre ce secteur dynamique. Tous les moyens possibles ont été mis à leur disposition ». Se voulant plus précis, il fait savoir que le secteur de l’éducation reçoit 500 milliards de francs Cfa par an. « Donc on ne peut plus continuer à voir l’école détruite comme ça par l’instabilité chronique. Nous invitions les acteurs à prendre conscience de la gravité de l’heure », dit-il.
« Le gouvernement prendra toutes les dispositions pour assurer la disponibilité des notes de l’ensemble des élèves du Sénégal »
Irrité, le président de la République entend régler ce problème une bonne fois. « Autrement, nous sommes obligés de prendre les mesures qu’imposera la situation. On ne peut pas sacrifier l’avenir des enfants alors que l’Etat a tout donné. On ne peut pas continuer comme ça », a martelé le Président Sall avant de poursuivre : « Moi, j’ai déjà instruit le gouvernement de prendre les dispositions pour assurer la disponibilité des notes pour l’ensemble des élèves du Sénégal ». Et il en est de même pour le secteur de la santé, car Macky soutient qu’il va prendre toutes les mesures pour assurer la santé des populations. Quitte à faire des réquisitions.
jotay.net