«Nous sommes dans un pays où il y a un Etat de droit. La Senelec, les administrations, tout le monde est soumis au droit. Les
citoyens ont des droits. Mais, il y a des principes qui sont au-delà de tout. C’estla sécurité des personnes et des biens. Et, ce problème des nuisances que nous avons surnos lignes, c’est un problème de sécurité d’abord avant d’être un problème économique, technique pour l’exploitation pour la Senelec. Les moyens de droit que nous avons ce sont les moyens que la loi met à notre disposition.C’est le fait de porter les problèmes auxquels nous sommes confrontés tous les jours devant les tribunaux pour demander que ces agressions cessent. Nous ne pouvons pas en permanence mettre des brigades de surveillance, la gendarmerie ou la police sur les
différents sites pour veiller à ce que les constructions ne reprennent pas. On ne peut pas expliquer cela. C’est inacceptable, il faut que ça cesse.
On ne peut pas exposer pour un titre privé, un intérêt privé, l’ensemble de la collectivité nationale.C’estdisproportionné.Ceux qui ont des droits puissent respecter les décisions de ne pas construire sus les lignes ou à côtédes lignes, aller devant les tribunaux pour se faire dédommager s’ils ont vraiment les titres pour cela. Au-delà du problème technique que cela pose pour l’exploitation de ces lignes, c’est un problème de sécurité pour l’ensemble des sénégalais. La note que nous avons prise c’est d’interdire aux agences de Senelec d’accepter un abonnement d’une personne ou d’une entreprise qui grèverait nos services. Ceux qui ont construit sous nos lignes ou à coté de nos lignes en toute illégalité nous ne pouvons pas leur fournir de l’électricité. Et nous invitons nos collègues de la Sde à nous suivre dans cette voie pour assurer la sécurité des sénégalais. »
citoyens ont des droits. Mais, il y a des principes qui sont au-delà de tout. C’estla sécurité des personnes et des biens. Et, ce problème des nuisances que nous avons surnos lignes, c’est un problème de sécurité d’abord avant d’être un problème économique, technique pour l’exploitation pour la Senelec. Les moyens de droit que nous avons ce sont les moyens que la loi met à notre disposition.C’est le fait de porter les problèmes auxquels nous sommes confrontés tous les jours devant les tribunaux pour demander que ces agressions cessent. Nous ne pouvons pas en permanence mettre des brigades de surveillance, la gendarmerie ou la police sur les
différents sites pour veiller à ce que les constructions ne reprennent pas. On ne peut pas expliquer cela. C’est inacceptable, il faut que ça cesse.
On ne peut pas exposer pour un titre privé, un intérêt privé, l’ensemble de la collectivité nationale.C’estdisproportionné.Ceux qui ont des droits puissent respecter les décisions de ne pas construire sus les lignes ou à côtédes lignes, aller devant les tribunaux pour se faire dédommager s’ils ont vraiment les titres pour cela. Au-delà du problème technique que cela pose pour l’exploitation de ces lignes, c’est un problème de sécurité pour l’ensemble des sénégalais. La note que nous avons prise c’est d’interdire aux agences de Senelec d’accepter un abonnement d’une personne ou d’une entreprise qui grèverait nos services. Ceux qui ont construit sous nos lignes ou à coté de nos lignes en toute illégalité nous ne pouvons pas leur fournir de l’électricité. Et nous invitons nos collègues de la Sde à nous suivre dans cette voie pour assurer la sécurité des sénégalais. »