Les mutins de Rebeuss avaient manifesté pour exiger de meilleures conditions, dénoncer les longues détentions, les mandats de dépôts systématiques entre autres.
Pour rétablir la vérité, le procureur de la République est sorti de sa réserve. Dans les colonnes de L’Observateurs Serigne Bassirou Guèye estime que ces accusations sont fallacieuses.
« Les mandats de dépôts ne sont pas systématiques. Ils ne sont pas distribués comme ça », s’est défendu Serigne Bassirou Guèye. Il rappelle que ces accusations contre le parquet ne datent pas d’aujourd’hui.
Il précise que le mandat de dépôt du parquet ne dure que 48h. Donc, le maîtres des poursuites dédouane le parquet par rapport à cette situation.
En qui concerne les longues détentions, Serigne Bassirou Guèye indique qu’il s’agit d’un problème international. Pour régler ce problème, le procureur informe que les juristes sont en train de voir comment faut-il faire pour enlever des systèmes judiciaires, les détentions provisoires, c’est-à-dire l’institution d’un mandat de dépôt.
Une autre révélation du procureur, c’est qu’en France, le taux d’occupation des prisons, est de 180%, alors que le Sénégal n’en est pas à ce niveau.
Il finit par rassurer les détenus par rapport à la permanence des Chambres criminelles. Une loi est ficelée en sens pour les soulager.
(SeneJet)
Pour rétablir la vérité, le procureur de la République est sorti de sa réserve. Dans les colonnes de L’Observateurs Serigne Bassirou Guèye estime que ces accusations sont fallacieuses.
« Les mandats de dépôts ne sont pas systématiques. Ils ne sont pas distribués comme ça », s’est défendu Serigne Bassirou Guèye. Il rappelle que ces accusations contre le parquet ne datent pas d’aujourd’hui.
Il précise que le mandat de dépôt du parquet ne dure que 48h. Donc, le maîtres des poursuites dédouane le parquet par rapport à cette situation.
En qui concerne les longues détentions, Serigne Bassirou Guèye indique qu’il s’agit d’un problème international. Pour régler ce problème, le procureur informe que les juristes sont en train de voir comment faut-il faire pour enlever des systèmes judiciaires, les détentions provisoires, c’est-à-dire l’institution d’un mandat de dépôt.
Une autre révélation du procureur, c’est qu’en France, le taux d’occupation des prisons, est de 180%, alors que le Sénégal n’en est pas à ce niveau.
Il finit par rassurer les détenus par rapport à la permanence des Chambres criminelles. Une loi est ficelée en sens pour les soulager.
(SeneJet)