Adopté en décembre par le parlement, le texte est décrit par certains de ses détracteurs comme étant le plus répressif de ces 40 dernières années en matière d'immigration.
Il instaure notamment des quotas annuels de personnes immigrées, la révocation de leur droit de séjour en cas d'infraction de la loi ou des principes républicains, ainsi qu'une importance baisse des aides sociales accordées aux étrangers.
Plus de 200 personnalités opposées à la loi avaient appelé à des rassemblements ce weekend. Les manifestants ayant répondu à l'appel demandent au président de la République de ne pas promulguer la loi.
Emmanuel Macron a soutenu le texte lors de son parcours compliqué au parlement. De manière surprenante, le chef de l'Etat a depuis déclaré que certains articles semblent ne pas respecter la Constitution.
Il instaure notamment des quotas annuels de personnes immigrées, la révocation de leur droit de séjour en cas d'infraction de la loi ou des principes républicains, ainsi qu'une importance baisse des aides sociales accordées aux étrangers.
Plus de 200 personnalités opposées à la loi avaient appelé à des rassemblements ce weekend. Les manifestants ayant répondu à l'appel demandent au président de la République de ne pas promulguer la loi.
Emmanuel Macron a soutenu le texte lors de son parcours compliqué au parlement. De manière surprenante, le chef de l'Etat a depuis déclaré que certains articles semblent ne pas respecter la Constitution.