Cela fait plus d’une décennie que des membres d’une coopérative foncière attendent en vain la remise de leurs parcelles à Niague. Composée d’agents du journal Le Soleil, de membres des forces de l’ordre et de prêtres, cette coopérative accuse la société immobilière SOCABEG de vouloir s’approprier un terrain de 3,5 hectares qu’ils affirment avoir acquis légalement.
Réunis sur le site, les membres de la coopérative ont organisé un point de presse pour faire entendre leur voix. «Nous sommes sur le site que nous acquis depuis 2015.La socabeg a voulu nous forcer la main pour recuperer les terres avec un faux bail. Nous demandons simplement que justice soit faite. Cela fait des années que nous attendons », a déclaré leur porte-parole, El Hadji Ibrahima Thiam, visiblement ému par l’ampleur du préjudice.
En réponse, la société SOCABEG a publié un communiqué rejetant catégoriquement les accusations portées contre elle. Elle affirme détenir des décisions de justice l’innocentant dans cette affaire et qualifie les allégations de la coopérative de « sans fondement ».
Entre frustrations, recours administratifs et bras de fer judiciaire, le litige semble encore loin de son épilogue. En attendant, les membres de la coopérative, usés par l’attente, continuent de réclamer leurs droits.
Igfm
Réunis sur le site, les membres de la coopérative ont organisé un point de presse pour faire entendre leur voix. «Nous sommes sur le site que nous acquis depuis 2015.La socabeg a voulu nous forcer la main pour recuperer les terres avec un faux bail. Nous demandons simplement que justice soit faite. Cela fait des années que nous attendons », a déclaré leur porte-parole, El Hadji Ibrahima Thiam, visiblement ému par l’ampleur du préjudice.
En réponse, la société SOCABEG a publié un communiqué rejetant catégoriquement les accusations portées contre elle. Elle affirme détenir des décisions de justice l’innocentant dans cette affaire et qualifie les allégations de la coopérative de « sans fondement ».
Entre frustrations, recours administratifs et bras de fer judiciaire, le litige semble encore loin de son épilogue. En attendant, les membres de la coopérative, usés par l’attente, continuent de réclamer leurs droits.
Igfm