Longtemps géré en main de maitre par l'avocat, ancien patron de la Diplomatie Sénégalaise, dakarposte tient de sources concordantes que Me Madické Niang, pour ne pas le nommer, a toujours eu la confiance des Wade- père et fils dans cette affaire.
Sans tambour ni trompette, Madické a su joué le rôle d'intermédiaire entre les familles religieuses sur tout celle de Touba,l e président et la famille Wade.
Il ressort de nos recoupements que les les vraies négociations sur la libération du "détenu le plus célèbre du Sénégal" ont démarré en pleine campagne du référendum du mois de mars.
C'est à cette période et après la publication des résultats que le Président Macky Sall a jugé utile de donner une suite à la lancinante question de la libération de l'ancien ministre du "ciel et de la terre". Mais, précise cette source, l'avis du groupe des experts des Nations Unies,réclamant non seulement la libération mais imposant une réparation, aurait beaucoup pesé sur la balance.
Malgré son éloignement du théâtre des opérations mais surtout ayant reçu depuis fort longtemps les garanties de l'élargissement de son fils,Me Abdoulaye Wade suivait depuis lors et trace les lignes de la négociation. D'ailleurs, le retour au bercail de l'ancien Président prévu sauf revirement d'ici quelques jours nous a été soufflé.
De la libération de Wade fils, il nous revient que depuis un bon bout de temps,les rencontres de plus en plus secrets se sont tenues entre le plénipotentiaire attitré de la famille Wade, le Président Sall himself et les représentants des khalifes généraux de Touba et Tivaouane .
Le principe de la libération retenu,il ne restait qu'à fixer les modalités pour présenter la chose dans ces meilleures formes mais en politicien avisé,Me Abdoulaye Wade a tenu à faire tirer la couverture du coté de son fils en "exigeant" une amnistie totale sur toutes les crimes économiques commis de 2000 à nos jours et une cessation de toute poursuite contre ces militants,la restitution du groupe parlementaire de son parti... C'est en substance ce qui revient à dakarposte.com de sources jusqu'ici fiables.
Soit dit en passant, nous avons pu glaner que la récente position de l'actuel président du groupe parlementaire du PDS Modou Diagne est assez révélatrice de la prochaine configuration de l'assemblée nationale. Et, comme l'annonçait il y'a quelques jours votre site préféré, la contrepartie qui serait exigée par l'actuel locataire du palais est la non présentation d'un candidat à la prochaine présidentielle et un soutien total du parti du Pape du SOPI en 2019.
Hormis l'accord retenu sur ces deux conditions,il a été d'abord retenu une libération par la voie de la liberté conditionnelle dans un premier temps et faire introduire par le groupe parlementaire du PDS une proposition de loi d'amnistie qui sera soutenue et votée par la majorité présidentielle. Seulement, il y'a eu retournement de situation, autrement dit,les choses ont été revues de part et d'autre.
Dakarposte tient que le retard de la libération de Karim Wade serait du selon au fait que Me Madické Niang a inopinément perdu sa mère mais surtout ,il a fallu de lourdes pressions sur Karim Wade pour lui faire accepter "l'interdiction" de ne pas se mêler du débat politique qu'après 2019.Ce sujet aurait été la principale cause du déplacement du Président à Touba et Tivaouane pour obtenir leurs soutiens mais surtout faire accepter au fils de Wade cette condition,mais également la... grâce Présidentielle.
Sans tambour ni trompette, Madické a su joué le rôle d'intermédiaire entre les familles religieuses sur tout celle de Touba,l e président et la famille Wade.
Il ressort de nos recoupements que les les vraies négociations sur la libération du "détenu le plus célèbre du Sénégal" ont démarré en pleine campagne du référendum du mois de mars.
C'est à cette période et après la publication des résultats que le Président Macky Sall a jugé utile de donner une suite à la lancinante question de la libération de l'ancien ministre du "ciel et de la terre". Mais, précise cette source, l'avis du groupe des experts des Nations Unies,réclamant non seulement la libération mais imposant une réparation, aurait beaucoup pesé sur la balance.
Malgré son éloignement du théâtre des opérations mais surtout ayant reçu depuis fort longtemps les garanties de l'élargissement de son fils,Me Abdoulaye Wade suivait depuis lors et trace les lignes de la négociation. D'ailleurs, le retour au bercail de l'ancien Président prévu sauf revirement d'ici quelques jours nous a été soufflé.
De la libération de Wade fils, il nous revient que depuis un bon bout de temps,les rencontres de plus en plus secrets se sont tenues entre le plénipotentiaire attitré de la famille Wade, le Président Sall himself et les représentants des khalifes généraux de Touba et Tivaouane .
Le principe de la libération retenu,il ne restait qu'à fixer les modalités pour présenter la chose dans ces meilleures formes mais en politicien avisé,Me Abdoulaye Wade a tenu à faire tirer la couverture du coté de son fils en "exigeant" une amnistie totale sur toutes les crimes économiques commis de 2000 à nos jours et une cessation de toute poursuite contre ces militants,la restitution du groupe parlementaire de son parti... C'est en substance ce qui revient à dakarposte.com de sources jusqu'ici fiables.
Soit dit en passant, nous avons pu glaner que la récente position de l'actuel président du groupe parlementaire du PDS Modou Diagne est assez révélatrice de la prochaine configuration de l'assemblée nationale. Et, comme l'annonçait il y'a quelques jours votre site préféré, la contrepartie qui serait exigée par l'actuel locataire du palais est la non présentation d'un candidat à la prochaine présidentielle et un soutien total du parti du Pape du SOPI en 2019.
Hormis l'accord retenu sur ces deux conditions,il a été d'abord retenu une libération par la voie de la liberté conditionnelle dans un premier temps et faire introduire par le groupe parlementaire du PDS une proposition de loi d'amnistie qui sera soutenue et votée par la majorité présidentielle. Seulement, il y'a eu retournement de situation, autrement dit,les choses ont été revues de part et d'autre.
Dakarposte tient que le retard de la libération de Karim Wade serait du selon au fait que Me Madické Niang a inopinément perdu sa mère mais surtout ,il a fallu de lourdes pressions sur Karim Wade pour lui faire accepter "l'interdiction" de ne pas se mêler du débat politique qu'après 2019.Ce sujet aurait été la principale cause du déplacement du Président à Touba et Tivaouane pour obtenir leurs soutiens mais surtout faire accepter au fils de Wade cette condition,mais également la... grâce Présidentielle.