Mais ce que le communiqué ne dit pas, c’est que leader des Marron-Beige est revenu sur ses divergences avec le Conseil constitutionnel. Libération rapporte que ce dernier «n’a pas manqué d’égratigner» les 7 Sages.
«Sans citer de nom, informe le journal, Macky Sall a dit ne pas comprendre que le Conseil constitutionnel puisse laisser passer ‘quelqu’un qui a la nationalité française’ [Rose Wardini, arrêtée pour parjure puis libérée avant qu’elle retire sa candidature] et bloque ‘un autre qui a renoncé à sa nationalité française’ [Karim Wade]».
La même source informe que le président de la République a déclaré devant le SEN de l’APR avoir interpellé à ce sujet son ex-Premier ministre, Amadou Bâ et que ce dernier «lui a dit n’avoir aucune explication à cela». «Après, il y a eu des audio», aurait embrayé Macky Sall, si l’on en croit Libération.
Le quotidien d’information rapporte que le chef de l’APR a en outre déclaré que c’est après que le Conseil constitutionnel a choisi la date du 31 mars pour la présidentielle, dans la foulée du rejet des conclusions du dialogue national qui proposaient celle du 15 décembre prochain, qu’il a appelé le président de ladite juridiction, Badio Camara «pour lui demander de quoi cela retournait».
Quelle a été la réponse de ce dernier ? Libération n’a pas précisé si Macky Sall l’a dévoilée ou pas au cours de la réunion du SEN de son parti.
igfm
«Sans citer de nom, informe le journal, Macky Sall a dit ne pas comprendre que le Conseil constitutionnel puisse laisser passer ‘quelqu’un qui a la nationalité française’ [Rose Wardini, arrêtée pour parjure puis libérée avant qu’elle retire sa candidature] et bloque ‘un autre qui a renoncé à sa nationalité française’ [Karim Wade]».
La même source informe que le président de la République a déclaré devant le SEN de l’APR avoir interpellé à ce sujet son ex-Premier ministre, Amadou Bâ et que ce dernier «lui a dit n’avoir aucune explication à cela». «Après, il y a eu des audio», aurait embrayé Macky Sall, si l’on en croit Libération.
Le quotidien d’information rapporte que le chef de l’APR a en outre déclaré que c’est après que le Conseil constitutionnel a choisi la date du 31 mars pour la présidentielle, dans la foulée du rejet des conclusions du dialogue national qui proposaient celle du 15 décembre prochain, qu’il a appelé le président de ladite juridiction, Badio Camara «pour lui demander de quoi cela retournait».
Quelle a été la réponse de ce dernier ? Libération n’a pas précisé si Macky Sall l’a dévoilée ou pas au cours de la réunion du SEN de son parti.
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