Quelques heures après une frappe de l’armée israélienne qui a fait, selon le Hamas, au moins 14 morts à Rafah, secours et volontaires s’activent pour sortir les corps des victimes des décombres.
Tsahal est également pointée du doigt pour un drame survenu jeudi.
Au moins 110 personnes sont mortes lors d’une distribution d’aide. Israël affirme que les tirs de son armée sur la foule ne sont pas à l’origine du drame.
"Notre examen initial a confirmé qu'aucune frappe n'a été effectuée par les FDI en direction du convoi d'aide. La majorité des Palestiniens ont été tués ou blessés à la suite d'une bousculade", a déclaré Daniel Hagari, porte-parole de l'armée israélienne.
Depuis le 7 octobre, les victimes ne cessent d’affluer dans les hôpitaux qui fonctionnent encore.
Pour tenter de mettre fin à ce conflit, qui a fait plus de 30 410 morts selon le Hamas, les négociations se poursuivent au Caire. Des discussions en bonne voie, selon Washington, pour obtenir d’ici quelques jours, une trêve de six semaines.
En attendant, dans la bande de Gaza, la famine est “presque inévitable” selon l’ONU.
Tsahal est également pointée du doigt pour un drame survenu jeudi.
Au moins 110 personnes sont mortes lors d’une distribution d’aide. Israël affirme que les tirs de son armée sur la foule ne sont pas à l’origine du drame.
"Notre examen initial a confirmé qu'aucune frappe n'a été effectuée par les FDI en direction du convoi d'aide. La majorité des Palestiniens ont été tués ou blessés à la suite d'une bousculade", a déclaré Daniel Hagari, porte-parole de l'armée israélienne.
Depuis le 7 octobre, les victimes ne cessent d’affluer dans les hôpitaux qui fonctionnent encore.
Pour tenter de mettre fin à ce conflit, qui a fait plus de 30 410 morts selon le Hamas, les négociations se poursuivent au Caire. Des discussions en bonne voie, selon Washington, pour obtenir d’ici quelques jours, une trêve de six semaines.
En attendant, dans la bande de Gaza, la famine est “presque inévitable” selon l’ONU.