Elles encouraient une peine de 6 mois de réclusion chacune mais de sources judiciaires, dakarposte.com tient que les fameuses masseuses de Yoff ont finalement écopé d'une sentence ferme de 2 mois. Ainsi en a décidé le tribunal pour Bineta Diagne Ndoye, Daba Gningue et Aïssatou Diallo.
Elles étaient poursuivies pour incitation à la débauche et diffusion d'images à caractère pornographique notamment sur le site neexna.com
Rendant son délibéré ce vendredi, le tribunal a relaxé les prévenues du fait d'incitation à la débauche avant de les déclarer coupables du chef d'impressions d'écrits, dessins, affiches, gravures pornographique ou images contraires aux bonnes moeurs.
C’est la date du 24 novembre 2016 que les éléments de la Brigade des mœurs, de la Sûreté Urbaine (SU), ont interpellé ces dernières.
En réalité, c’est après avoir exploité des images à caractère pornographique publiées dans un site dénommé "neexna.com" qui appartient à Aïssatou Diallo et Thiaga Cissé qu’ils sont intervenus.
Des messages sur lesquels, les numéros des filles qui faisaient des propositions indécentes à leurs éventuels clients, étaient affichés.
Cette affaire a été jugée mercredi dernier. Lors de l'audience dans le fond, le procureur avait même fait une grosse révélation qui avait fait froid dans le dos: "une des masseuses qui fait le type de massage appelé "body-body" est porteuse de virus du Sida. Elle a été dénoncée par ses collègues masseuses" a t'il soutenu
Par la suite, ces filles ont reconnu devant la barre avoir commis des erreurs avant de déclarer qu'elles allaient mettre la clef sous le paillasson; c'est à dire fermer boutique et chercher un autre travail plus décent.
Après le réquisitoire sans ménagement du Procureur, Me Barro est vite monté au créneau pour l’inviter à tendre la perche aux prévenues, soutenant que les reproches qui leur ont été faites sont suffisants comme punition.
Elles sont désormais édifiées sur le sort.
Elles étaient poursuivies pour incitation à la débauche et diffusion d'images à caractère pornographique notamment sur le site neexna.com
Rendant son délibéré ce vendredi, le tribunal a relaxé les prévenues du fait d'incitation à la débauche avant de les déclarer coupables du chef d'impressions d'écrits, dessins, affiches, gravures pornographique ou images contraires aux bonnes moeurs.
C’est la date du 24 novembre 2016 que les éléments de la Brigade des mœurs, de la Sûreté Urbaine (SU), ont interpellé ces dernières.
En réalité, c’est après avoir exploité des images à caractère pornographique publiées dans un site dénommé "neexna.com" qui appartient à Aïssatou Diallo et Thiaga Cissé qu’ils sont intervenus.
Des messages sur lesquels, les numéros des filles qui faisaient des propositions indécentes à leurs éventuels clients, étaient affichés.
Cette affaire a été jugée mercredi dernier. Lors de l'audience dans le fond, le procureur avait même fait une grosse révélation qui avait fait froid dans le dos: "une des masseuses qui fait le type de massage appelé "body-body" est porteuse de virus du Sida. Elle a été dénoncée par ses collègues masseuses" a t'il soutenu
Par la suite, ces filles ont reconnu devant la barre avoir commis des erreurs avant de déclarer qu'elles allaient mettre la clef sous le paillasson; c'est à dire fermer boutique et chercher un autre travail plus décent.
Après le réquisitoire sans ménagement du Procureur, Me Barro est vite monté au créneau pour l’inviter à tendre la perche aux prévenues, soutenant que les reproches qui leur ont été faites sont suffisants comme punition.
Elles sont désormais édifiées sur le sort.