Cortège de Madické – Affaire du million 500 mille perçu par jour : les journalistes démentent !
La campagne électorale n’est pas sans difficultés pour les journalistes. Pour preuve, ceux qui sont attachés à la caravane du candidat Madické Niang sont depuis le début dans une précarité sans limite. Les journalistes dorment au quotidien dans les chambres de passage, le plus souvent le ventre vide.
Pour combler le tout ces professionnels de l’information ont vu leur dignité être piétinée à la Sentv par Ndella Madior Diouf. Cette dernière a osé arguer que chaque jour, le candidat débourse un million 500 mille F Cfa, pour la prise en charge des journalistes. Alors qu’il n’en est rien.
Makhaly Ndiack Ndoye, chargé des revendications du Synpics, et membre du cortège, a fermement fustigé ces contrevérités portées contre les journalistes. Etant le porte-parole des journalistes du convoi, le reporter du quotidien L’Obs est rouge de colère.
“Tout ce que je peux dire sur cette polémique c’est que tout ce que Ndella Madior Diouf a raconté n’est qu’un tissu de mensonges. On a tous les problèmes du monde dans cette caravane. La prise en charge a été plus que défectueuse. On ne dort pas, on ne mange pas et on voyage tout le temps. Il nous arrive de descendre à 4h du matin.
Actusen
La campagne électorale n’est pas sans difficultés pour les journalistes. Pour preuve, ceux qui sont attachés à la caravane du candidat Madické Niang sont depuis le début dans une précarité sans limite. Les journalistes dorment au quotidien dans les chambres de passage, le plus souvent le ventre vide.
Pour combler le tout ces professionnels de l’information ont vu leur dignité être piétinée à la Sentv par Ndella Madior Diouf. Cette dernière a osé arguer que chaque jour, le candidat débourse un million 500 mille F Cfa, pour la prise en charge des journalistes. Alors qu’il n’en est rien.
Makhaly Ndiack Ndoye, chargé des revendications du Synpics, et membre du cortège, a fermement fustigé ces contrevérités portées contre les journalistes. Etant le porte-parole des journalistes du convoi, le reporter du quotidien L’Obs est rouge de colère.
“Tout ce que je peux dire sur cette polémique c’est que tout ce que Ndella Madior Diouf a raconté n’est qu’un tissu de mensonges. On a tous les problèmes du monde dans cette caravane. La prise en charge a été plus que défectueuse. On ne dort pas, on ne mange pas et on voyage tout le temps. Il nous arrive de descendre à 4h du matin.
Actusen