Godwine Okechukwu Okoko et Udoka Ebube sont tous deux des ressortissants nigerians. Ils sont attraits devant la barre de la troisième chambre correctionnelle du tribunal de grande instance de Dakar pour offre ou cession de cocaïne. Dakarposte est en mesure de révéler que les deux prévenus ont été appréhendés suite au tragique décès par overdose du célèbre mannequin Maty Mbodji.
Après une infiltration et une longue filature, les éléments enquêteurs avaient fini par mettre la main sur les prévenus. Les enquêteurs étaient convaincus qu'ils venaient de mettre le grappin sur les fournisseurs de Maty Mbodji.
Cependant les mis en cause ont déclaré qu'ils ne la connaissaient pas. Au moment de leur interpellation, ils étaient porteurs de 2 grammes de cocaïne chacun et des numéraires, certainement le fruit de leur activité illicite selon le procureur.
Les prévenus n'ont reconnu que la détention de drogue en précisant qu'elle était destinée à leur consommation personnelle.
Le parquet, prenant ses réquisitions, souligne que les faits d'offre ou cession reprochés aux prévenus sont constants. Alors les prévenus doivent être maintenus dans les liens de la prévention et pour la répression, il requiert la peine de 3 ans ferme contre tous.
L'affaire est mise en délibéré pour jugement être rendu le 9 mai 2017.
Après une infiltration et une longue filature, les éléments enquêteurs avaient fini par mettre la main sur les prévenus. Les enquêteurs étaient convaincus qu'ils venaient de mettre le grappin sur les fournisseurs de Maty Mbodji.
Cependant les mis en cause ont déclaré qu'ils ne la connaissaient pas. Au moment de leur interpellation, ils étaient porteurs de 2 grammes de cocaïne chacun et des numéraires, certainement le fruit de leur activité illicite selon le procureur.
Les prévenus n'ont reconnu que la détention de drogue en précisant qu'elle était destinée à leur consommation personnelle.
Le parquet, prenant ses réquisitions, souligne que les faits d'offre ou cession reprochés aux prévenus sont constants. Alors les prévenus doivent être maintenus dans les liens de la prévention et pour la répression, il requiert la peine de 3 ans ferme contre tous.
L'affaire est mise en délibéré pour jugement être rendu le 9 mai 2017.