La Direction générale des Impôts et Domaines (Dgid) serait coupable de « braquage » et d’«harcèlement fiscal » au détriment de nombreuses entreprises sénégalaises et étrangères. Le patron de l’une d’elles peste : « Dès qu’ils (les pouvoirs publics, Ndlr) sont fauchés, ils envoient des inspecteurs en disant qu’il faut atteindre tel objectif. Cette année ils ont fait une loi de finances rectificatives parce qu’ils ont eu un pic au niveau des rentrées fiscales. »
Le mode opératoire est rôdé : « Ils font des notifications provisoires, révèle un autre chef d’entreprise. Souvent, ils annoncent des chiffres invraisemblables et dès que tu fais un mémoire de défense, le monde s’effondre comme du beurre au soleil. De 15 milliards, le redressement peut tout de suite passer à 1 milliard. »
Ce « matraquage fiscal » plombe la compétitivité des entreprises qui ne recrutent plus.
Le secteur privé national n’est pas le seul à souffrir de cette offensive de la Dgid pour renflouer les caisses de l’État. Les multinationales aussi suffoquent. Et pour prendre l’air, celles-ci se tournent vers leurs ambassades. Lesquelles contactent souvent les autorités pour tempérer les ardeurs du fisc sénégalais. (Source : Wal fadjri)
Auteur: Wal fadjri - Seneweb
Le mode opératoire est rôdé : « Ils font des notifications provisoires, révèle un autre chef d’entreprise. Souvent, ils annoncent des chiffres invraisemblables et dès que tu fais un mémoire de défense, le monde s’effondre comme du beurre au soleil. De 15 milliards, le redressement peut tout de suite passer à 1 milliard. »
Ce « matraquage fiscal » plombe la compétitivité des entreprises qui ne recrutent plus.
Le secteur privé national n’est pas le seul à souffrir de cette offensive de la Dgid pour renflouer les caisses de l’État. Les multinationales aussi suffoquent. Et pour prendre l’air, celles-ci se tournent vers leurs ambassades. Lesquelles contactent souvent les autorités pour tempérer les ardeurs du fisc sénégalais. (Source : Wal fadjri)
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