D'habitude, la veille de Noël, la capitale Sénégalaise et au-delà (les régions) vibraient déjà aux sons de pétarades. A chaque coin de rue, crépitait un feu nourri de feu d'artifices ou de pétards. Les ventes de pétards et feux d'artifice allaient bon train dans les magasins spécialisés et dans la rue.
Tel n'a pas été le cas cette année et pour cause? Les autorités, sur le qui-vive compte tenu des menaces terroristes ont décidé d'interdire du moins, selon leurs termes, "réglementer l'usage des pétards feux d'artifices". Et même les fêtes ou événements connexes aux fêtes de fin d'année seront assujetties à une autorisation administrative après enquête.
En sus de certains de nos compatriotes fêtards devant l'Eternel, nos voisins des pays limitrophes qui avaient l'habitude de venir passer ces moments à Dakar seront les plus déçus même si les impératifs de sécurité nationale dictent cette nouvelle donne.
Dakarposte fidèle à sa ligne a mené ses propres investigations. Il nous revient que cette mesure des autorités Sénégalaises est loin d'être fortuite. En clair, depuis plusieurs mois, des notes d'alerte, communément appelé "B.R" (Bulletins de Renseignements) se sont accumulées sur la table du Ministre de l'Intérieur et du Président de la république faisant état de la possibilité d'existence de sympathisants à des réseaux terroristes sur le territoire national.
Comme a t'on coutume de dire: " gouverner, c'est prévoir" il fallait que l'Etat, garant de la sécurité des personnes et de leurs biens, prenne les devants. D'où ces mesures conservatoires prises.
De vieilles correspondances de la Direction de la Protection Civile demandant à l'autorité de réglementer l'importation et la vente des feux d'artifice sont dépoussiérées pour permettre au Ministre de prendre un Arrêté allant dans ce sens.
Poursuivant nos investigations, nous avons pu glaner que le "Premier flic du pays" (entendez le ministre de l'Intérieur) ne se limitera pas à interdire juste les feux d'artifice à la Place de l'indépendance mais également toutes les cérémonies allant des arbres de Noël dans les endroits publics en passant par les soirées ayant trait aux fêtes de fin d'années seront frappées du sceau de l'autorisation administrative.
Pour ces derniers cas,les services de sécurité se sont basés sur les derniers évènements ayant comme théâtre d'opération Paris et/ ou Bamako où des attentats sanglants ont été perpétrés dans des lieux recevant du public.
Pour parer à toute éventualité,un plan de sécurité genre Vigipirate a été testé récemment et a donné entière satisfaction quant à son opérationnalité.
A part quelques couacs notés ça et là,c'est ce plan qui devra se mettre en branle dans quelques heures et ce jusqu'après les fêtes de fin d’année.
Un Officier faisant parti de l’État Major de ce plan dont le nom est encore tu nous confirme que toutes les dispositions ont été prises et que les partenaires comme les gérants d’hôtel adhèrent au projet. Mais, le seul problème sera une partie de la zone des Almadies où la concentration de débits de boissons et restaurants est tellement dense qu'il suffira juste d'un rush à partir d'une certaine heure pour créer des embouteillages monstres et une présence humaine au mètre carré qui ne facilitera pas les choses. Et, notre interlocuteur d'ajouter que les autorités devraient beaucoup communiquer sur les réels dangers qui pourraient toucher le pays et inviter les responsables de ces secteurs à un éveil de conscience patriotique.
Notre source de poursuivre en des termes clairs,"si cela ne tenait qu'à nous,des mesures de restrictions seraient imposées dans cette zone des Almadies où depuis des années la Protection Civile a averti de la dangerosité journalière qui pourrait être fatale un jour".
En attendant,les Dakarois semblent confrontés à leur première fête de fin d'année des plus moroses
Tel n'a pas été le cas cette année et pour cause? Les autorités, sur le qui-vive compte tenu des menaces terroristes ont décidé d'interdire du moins, selon leurs termes, "réglementer l'usage des pétards feux d'artifices". Et même les fêtes ou événements connexes aux fêtes de fin d'année seront assujetties à une autorisation administrative après enquête.
En sus de certains de nos compatriotes fêtards devant l'Eternel, nos voisins des pays limitrophes qui avaient l'habitude de venir passer ces moments à Dakar seront les plus déçus même si les impératifs de sécurité nationale dictent cette nouvelle donne.
Dakarposte fidèle à sa ligne a mené ses propres investigations. Il nous revient que cette mesure des autorités Sénégalaises est loin d'être fortuite. En clair, depuis plusieurs mois, des notes d'alerte, communément appelé "B.R" (Bulletins de Renseignements) se sont accumulées sur la table du Ministre de l'Intérieur et du Président de la république faisant état de la possibilité d'existence de sympathisants à des réseaux terroristes sur le territoire national.
Comme a t'on coutume de dire: " gouverner, c'est prévoir" il fallait que l'Etat, garant de la sécurité des personnes et de leurs biens, prenne les devants. D'où ces mesures conservatoires prises.
De vieilles correspondances de la Direction de la Protection Civile demandant à l'autorité de réglementer l'importation et la vente des feux d'artifice sont dépoussiérées pour permettre au Ministre de prendre un Arrêté allant dans ce sens.
Poursuivant nos investigations, nous avons pu glaner que le "Premier flic du pays" (entendez le ministre de l'Intérieur) ne se limitera pas à interdire juste les feux d'artifice à la Place de l'indépendance mais également toutes les cérémonies allant des arbres de Noël dans les endroits publics en passant par les soirées ayant trait aux fêtes de fin d'années seront frappées du sceau de l'autorisation administrative.
Pour ces derniers cas,les services de sécurité se sont basés sur les derniers évènements ayant comme théâtre d'opération Paris et/ ou Bamako où des attentats sanglants ont été perpétrés dans des lieux recevant du public.
Pour parer à toute éventualité,un plan de sécurité genre Vigipirate a été testé récemment et a donné entière satisfaction quant à son opérationnalité.
A part quelques couacs notés ça et là,c'est ce plan qui devra se mettre en branle dans quelques heures et ce jusqu'après les fêtes de fin d’année.
Un Officier faisant parti de l’État Major de ce plan dont le nom est encore tu nous confirme que toutes les dispositions ont été prises et que les partenaires comme les gérants d’hôtel adhèrent au projet. Mais, le seul problème sera une partie de la zone des Almadies où la concentration de débits de boissons et restaurants est tellement dense qu'il suffira juste d'un rush à partir d'une certaine heure pour créer des embouteillages monstres et une présence humaine au mètre carré qui ne facilitera pas les choses. Et, notre interlocuteur d'ajouter que les autorités devraient beaucoup communiquer sur les réels dangers qui pourraient toucher le pays et inviter les responsables de ces secteurs à un éveil de conscience patriotique.
Notre source de poursuivre en des termes clairs,"si cela ne tenait qu'à nous,des mesures de restrictions seraient imposées dans cette zone des Almadies où depuis des années la Protection Civile a averti de la dangerosité journalière qui pourrait être fatale un jour".
En attendant,les Dakarois semblent confrontés à leur première fête de fin d'année des plus moroses