Dans les rues de Moscou, les affiches électorales se sont multipliées ces dernières semaines. L'élection présidentielle se tiendra du 15 au 17 mars dans tout le pays, mais également dans les territoires ukrainiens annexés par la Russie.
Au total, plus de 112 millions d’électeurs sont appelés aux urnes. Et certains ne s’en cachent pas : ce week-end, ils iront voter pour Vladimir Poutine.
"Cela ne regarde que moi, pour qui je vais voter. Non, bien sûr, ce sera pour le président actuel. Parce qu'on ne change pas de cheval en cours de route. Nos projets sont globaux, sérieux, et ils doivent être menés à bien", explique un habitant de Moscou.
Quatre candidats sont en lice pour ce scrutin qui s’annonce sans surprise. Trois d’entre eux sont des opposants contrôlés ou sans réel poids face à Vladimir Poutine, 71 ans, qui vise un cinquième mandat à la tête du pays.
Le président russe n’a quasiment pas fait campagne. Mais dans un discours à l’Assemblée fédérale, il a promis notamment d’"atteindre ses objectifs" en Ukraine. Et à consacrer plus de fonds à l’éducation.
"J'espère qu'il y aura une réforme de l'éducation. J'aimerais beaucoup parce que, franchement, c'est terrible, comparé à l'ère soviétique dans laquelle je suis née et j'ai été éduquée. Mais si nous parlons de choses quotidiennes, j'aimerais bien sûr que nous puissions partir plus souvent en vacances et que l'opération militaire spéciale prenne fin. Voilà, c'est tout", explique une habitante de la capitale russe.
Loin de Moscou, dans certaines régions où les candidats ne se sont pas déplacés pour faire campagne, les habitants ne se sentent que peu concernés par cette élection.
"Je ne vais pas voter. Il me semble que tout a déjà été décidé pour nous et je ne vais pas parcourir ces routes horribles avec un enfant en bas âge et je n'ai personne à qui le confier", explique une femme qui habite dans une ville de la région de l'Oural.
Avec cette élection l’opposition russe, emprisonnée ou en exil, tente malgré tout de faire entendre sa voix.
Au total, plus de 112 millions d’électeurs sont appelés aux urnes. Et certains ne s’en cachent pas : ce week-end, ils iront voter pour Vladimir Poutine.
"Cela ne regarde que moi, pour qui je vais voter. Non, bien sûr, ce sera pour le président actuel. Parce qu'on ne change pas de cheval en cours de route. Nos projets sont globaux, sérieux, et ils doivent être menés à bien", explique un habitant de Moscou.
Quatre candidats sont en lice pour ce scrutin qui s’annonce sans surprise. Trois d’entre eux sont des opposants contrôlés ou sans réel poids face à Vladimir Poutine, 71 ans, qui vise un cinquième mandat à la tête du pays.
Le président russe n’a quasiment pas fait campagne. Mais dans un discours à l’Assemblée fédérale, il a promis notamment d’"atteindre ses objectifs" en Ukraine. Et à consacrer plus de fonds à l’éducation.
"J'espère qu'il y aura une réforme de l'éducation. J'aimerais beaucoup parce que, franchement, c'est terrible, comparé à l'ère soviétique dans laquelle je suis née et j'ai été éduquée. Mais si nous parlons de choses quotidiennes, j'aimerais bien sûr que nous puissions partir plus souvent en vacances et que l'opération militaire spéciale prenne fin. Voilà, c'est tout", explique une habitante de la capitale russe.
Loin de Moscou, dans certaines régions où les candidats ne se sont pas déplacés pour faire campagne, les habitants ne se sentent que peu concernés par cette élection.
"Je ne vais pas voter. Il me semble que tout a déjà été décidé pour nous et je ne vais pas parcourir ces routes horribles avec un enfant en bas âge et je n'ai personne à qui le confier", explique une femme qui habite dans une ville de la région de l'Oural.
Avec cette élection l’opposition russe, emprisonnée ou en exil, tente malgré tout de faire entendre sa voix.