Il est devenu évident que le régime de Macky Sall, aux abois et craignant une défaite électorale, utilise tous les moyens à sa disposition pour tenter de maintenir son emprise sur le pouvoir. L’instrumentation de la justice, qui devrait être un pilier de l’État de droit, a été détournée pour cibler Ousmane Sonko et ses alliés politiques. Les accusations multiples, allant de l’outrage à la justice à des accusations graves comme l’appel à l’insurrection et le financement d’activités terroristes, semblent être plus une stratégie politique qu’une quête de justice.
La détention de Bassirou Diomaye Faye, un membre clé du parti Pastef, dans le cadre du dossier contre Ousmane Sonko, témoigne de la volonté du régime de couper l’herbe sous les pieds de l’opposition. Les tentatives de jonction des procédures judiciaires visent clairement à étendre les accusations à l’ensemble du parti, dans une tentative désespérée de le discréditer.
Ces manœuvres politiques flagrantes soulèvent des questions fondamentales sur la démocratie et l’État de droit au Sénégal. La justice ne doit pas être utilisée comme une arme politique pour éliminer l’opposition. Le droit à une participation électorale équitable et la possibilité de présenter des candidats doivent être respectés.
Le régime de Macky Sall doit réaliser que l’intimidation et la répression ne dissuaderont pas le peuple sénégalais de poursuivre sa quête de justice, de liberté et de démocratie. L’acharnement contre Pastef-Les Patriotes ne fait que renforcer la détermination de l’opposition et de ses partisans.
Alors que les élections présidentielles de 2024 approchent, il est temps que le Sénégal réaffirme son engagement envers les principes démocratiques et l’État de droit. Le pays mérite un débat politique sain, où les citoyens peuvent faire leur choix en toute liberté, sans ingérence ni intimidation. Le régime de Macky Sall doit comprendre que les tentatives désespérées de maintenir le pouvoir par des moyens injustes ne feront que saper la crédibilité de son gouvernement et sa légitimité aux yeux du peuple sénégalais et de la communauté internationale.
La détention de Bassirou Diomaye Faye, un membre clé du parti Pastef, dans le cadre du dossier contre Ousmane Sonko, témoigne de la volonté du régime de couper l’herbe sous les pieds de l’opposition. Les tentatives de jonction des procédures judiciaires visent clairement à étendre les accusations à l’ensemble du parti, dans une tentative désespérée de le discréditer.
Ces manœuvres politiques flagrantes soulèvent des questions fondamentales sur la démocratie et l’État de droit au Sénégal. La justice ne doit pas être utilisée comme une arme politique pour éliminer l’opposition. Le droit à une participation électorale équitable et la possibilité de présenter des candidats doivent être respectés.
Le régime de Macky Sall doit réaliser que l’intimidation et la répression ne dissuaderont pas le peuple sénégalais de poursuivre sa quête de justice, de liberté et de démocratie. L’acharnement contre Pastef-Les Patriotes ne fait que renforcer la détermination de l’opposition et de ses partisans.
Alors que les élections présidentielles de 2024 approchent, il est temps que le Sénégal réaffirme son engagement envers les principes démocratiques et l’État de droit. Le pays mérite un débat politique sain, où les citoyens peuvent faire leur choix en toute liberté, sans ingérence ni intimidation. Le régime de Macky Sall doit comprendre que les tentatives désespérées de maintenir le pouvoir par des moyens injustes ne feront que saper la crédibilité de son gouvernement et sa légitimité aux yeux du peuple sénégalais et de la communauté internationale.