Deugg deugg, gaalou D…éputé ….dou taire. Alors que des Sénégambiens se mordent encore les doigts d’avoir vite fait confianceà l’homme de Banjul, voilà que sorti d’on ne sait où, nous apprend que Me El hadj Diouf est d’accord avec Yahya Jammeh sur sa volte-face, et qu’il leur demande de cesser de le diaboliser :
« Ma position diffère de celle, jusque-là développée dans ce pays. On ne cesse de tirer sur le chef d’état d’un pays souverain. Respectons la souveraineté de ce pays. On qualifie Yahya Jammeh de tous les noms d’oiseaux. Il mérite respect et considération parce qu’il dirige un peuple », a-t-il argué.
Mais à peine eut-il fini de nous exposer l’objet de son courroux (au cours d’une conférence extraordinaire qu’il avait convoquée pour nous reparler de l’affaire Frank Timis, mais dont il ne pipera mot), voilà que les coups ont commencé de pleuvoir de partout.
Si ce ne sont pas des téléspectateurs sénégalais et des Gambiens qui, tous unanimement, sont sortis pour se scandaliser de telles déclarations, c’est la société civile et même des journalistes comme Fatou Camara qui sont montés au front pour nous enseigner que l’avocat avait déjà reçu de l’argent du Président gambien pour le défendre.
Qu’en est-il réellement ? Ces accusations, sont-elles fondées ? En tout cas, il est de notoriété publique que c’est en cherchant à défendre le diable à tout prix, que beaucoup d’avocats ont fini par brûler leur robe.
Cébé
« Ma position diffère de celle, jusque-là développée dans ce pays. On ne cesse de tirer sur le chef d’état d’un pays souverain. Respectons la souveraineté de ce pays. On qualifie Yahya Jammeh de tous les noms d’oiseaux. Il mérite respect et considération parce qu’il dirige un peuple », a-t-il argué.
Mais à peine eut-il fini de nous exposer l’objet de son courroux (au cours d’une conférence extraordinaire qu’il avait convoquée pour nous reparler de l’affaire Frank Timis, mais dont il ne pipera mot), voilà que les coups ont commencé de pleuvoir de partout.
Si ce ne sont pas des téléspectateurs sénégalais et des Gambiens qui, tous unanimement, sont sortis pour se scandaliser de telles déclarations, c’est la société civile et même des journalistes comme Fatou Camara qui sont montés au front pour nous enseigner que l’avocat avait déjà reçu de l’argent du Président gambien pour le défendre.
Qu’en est-il réellement ? Ces accusations, sont-elles fondées ? En tout cas, il est de notoriété publique que c’est en cherchant à défendre le diable à tout prix, que beaucoup d’avocats ont fini par brûler leur robe.
Cébé