Via un communiqué du Département d’État, les États-Unis ont condamné le revirement de Yaya Jammeh qui, une semaine après avoir reconnu sa défaite, rejette les résultats de la présidentielle Gambienne donnant la victoire à Adama Barrow.
« Nous condamnons fermement la déclaration du 9 décembre du président Jammeh, qui a rejeté les résultats des élections du 1er décembre et réclamé de nouvelles élections. Cette action est une violation répréhensible et inacceptable de la confiance du peuple de la Gambie et une tentative flagrante de saper un processus électoral crédible et de rester au pouvoir illégitimement. »
Washington met en garde le président sortant et appelle à une mobilisation autour du Président élu, plébiscité par la commission électorale.
« Nous demandons au président Jammeh, qui a accepté les résultats des élections le 2 décembre, de procéder à une transition ordonnée du pouvoir au président élu Barrow conformément à la constitution gambienne, a indiqué le département d’État dans son communiqué. Nous appelons toutes les institutions en Gambie, y compris les dirigeants élus, les forces armées, les chefs religieux, les partis politiques et les organisations de la société civile à rejeter la violence et à soutenir pacifiquement la volonté exprimée clairement par les urnes. Les gens ont parlé et il est temps pour les Gambiens de se réunir pour assurer une transition pacifique vers le président élu Barrow. »
Avant les États-Unis, le Sénégal avait dénoncé la volte-face de Jammeh. Via le ministre sénégalais des Affaires étrangères, Dakar l’avait « fermement » condamnée. Exigeant « que le président sortant respecte sans condition le choix démocratique librement exprimé par le peuple gambien, qu’il organise la transmission pacifique du pouvoir et qu’il assure la sécurité et l’intégrité physique du président nouvellement élu ».
Auteur: seneweb
« Nous condamnons fermement la déclaration du 9 décembre du président Jammeh, qui a rejeté les résultats des élections du 1er décembre et réclamé de nouvelles élections. Cette action est une violation répréhensible et inacceptable de la confiance du peuple de la Gambie et une tentative flagrante de saper un processus électoral crédible et de rester au pouvoir illégitimement. »
Washington met en garde le président sortant et appelle à une mobilisation autour du Président élu, plébiscité par la commission électorale.
« Nous demandons au président Jammeh, qui a accepté les résultats des élections le 2 décembre, de procéder à une transition ordonnée du pouvoir au président élu Barrow conformément à la constitution gambienne, a indiqué le département d’État dans son communiqué. Nous appelons toutes les institutions en Gambie, y compris les dirigeants élus, les forces armées, les chefs religieux, les partis politiques et les organisations de la société civile à rejeter la violence et à soutenir pacifiquement la volonté exprimée clairement par les urnes. Les gens ont parlé et il est temps pour les Gambiens de se réunir pour assurer une transition pacifique vers le président élu Barrow. »
Avant les États-Unis, le Sénégal avait dénoncé la volte-face de Jammeh. Via le ministre sénégalais des Affaires étrangères, Dakar l’avait « fermement » condamnée. Exigeant « que le président sortant respecte sans condition le choix démocratique librement exprimé par le peuple gambien, qu’il organise la transmission pacifique du pouvoir et qu’il assure la sécurité et l’intégrité physique du président nouvellement élu ».
Auteur: seneweb