C’est une tradition dans certains villages du Sénégal d’organiser une fête au lendemain de la Tabaski qui constitue des moments de retrouvailles pour tous les jeunes natifs de la zone. Cette vieille tradition a été perpétuée par les jeunes de Kanel, dans le département de Matam, cette année. Sauf que la fête ne s’est pas uniquement limitée à la danse et à la dégustation de délicieux mets. Une sale histoire de viol collectif est venue entacher la fête. L’affaire a atterri à la brigade de la gendarmerie de Ourossogui.
Selon nos sources, la victime K. K. Diallo faisait partie des invités d’une fête organisée à la terrasse d’une maison. C’est au moment de rentrer qu’elle a croisé trois adolescents. ‘’Je descendais les escaliers pour aller chez moi mais ils m’en ont empêché. Ils ont pris un oreiller et l’ont mis sur ma bouche, pour m’empêcher de crier et de demander secours. Par la suite, ils m’ont emmenée dans une chambre à côté. Là, ils se sont relayés sur moi. Ils ont tellement abusé de moi que j’ai failli perdre connaissance. Après avoir satisfait leur libido, ils sont partis’’, a raconté la fille de 22 ans aux hommes du Commandant Daouda Thioune. Elle a ajouté qu’elle n’aurait rien dit si ses parents, ayant constaté sa démarche bizarre, ne l’avaient pas cuisinée.
‘’Il n’a jamais été question pour nous de la violer’’
Lors des différentes auditions des présumés violeurs, seul A. Ba a reconnu les faits. Il a soutenu avoir eu des rapports intimes avec la fille K.K. Diallo. Les autres, à savoir I. Sall et M. Barry, ont nié avoir touché à la fille. Ils ont soutenu avoir vidé les lieux quand ils ont su que leur copain voulait être seul avec la jeune Diallo. ‘’On n’a pas eu de rapports sexuels avec K. K. Diallo. Ce qui s’est passé, c’est qu’au moment où on a senti qu’I. Sall voulait être seul avec la fille, on a vite vidé les lieux. Mais il n’a jamais été question pour nous de la violer. On n’est pas concerné par cela’’, ont-ils déclaré devant les enquêteurs.
A. Ba, I. Sall et M. Barry, âgés respectivement de 14 ans, 15 ans et 16 ans, ont été déférés au parquet de Matam pour les faits de viol collectif.
Enqueteplus.com
Selon nos sources, la victime K. K. Diallo faisait partie des invités d’une fête organisée à la terrasse d’une maison. C’est au moment de rentrer qu’elle a croisé trois adolescents. ‘’Je descendais les escaliers pour aller chez moi mais ils m’en ont empêché. Ils ont pris un oreiller et l’ont mis sur ma bouche, pour m’empêcher de crier et de demander secours. Par la suite, ils m’ont emmenée dans une chambre à côté. Là, ils se sont relayés sur moi. Ils ont tellement abusé de moi que j’ai failli perdre connaissance. Après avoir satisfait leur libido, ils sont partis’’, a raconté la fille de 22 ans aux hommes du Commandant Daouda Thioune. Elle a ajouté qu’elle n’aurait rien dit si ses parents, ayant constaté sa démarche bizarre, ne l’avaient pas cuisinée.
‘’Il n’a jamais été question pour nous de la violer’’
Lors des différentes auditions des présumés violeurs, seul A. Ba a reconnu les faits. Il a soutenu avoir eu des rapports intimes avec la fille K.K. Diallo. Les autres, à savoir I. Sall et M. Barry, ont nié avoir touché à la fille. Ils ont soutenu avoir vidé les lieux quand ils ont su que leur copain voulait être seul avec la jeune Diallo. ‘’On n’a pas eu de rapports sexuels avec K. K. Diallo. Ce qui s’est passé, c’est qu’au moment où on a senti qu’I. Sall voulait être seul avec la fille, on a vite vidé les lieux. Mais il n’a jamais été question pour nous de la violer. On n’est pas concerné par cela’’, ont-ils déclaré devant les enquêteurs.
A. Ba, I. Sall et M. Barry, âgés respectivement de 14 ans, 15 ans et 16 ans, ont été déférés au parquet de Matam pour les faits de viol collectif.
Enqueteplus.com