Plus audacieux que le sieur Boubacar Koné, il en existe rarement! Et pour cause? De l'économie de cette affaire somme toute grave, qui lui vaut d'être trainé en justice, dakarposte.com tient que c'est Me Moustapha Ndoye, avocat qui l'a porté devant Dame Justice.
Que s'est il passé?
D'ordre et pour le compte de sa mandate, c'est à dire la Coopérative d'Habitat de Tropicasem, l'avocat (Me Ndoye) a esté contre le sieur Boubacar Koné.
Portant connaissance les faits, le conseil juridique dira que suivant un protocole d'accord que sa mandante a acquis auprès de Boubacar Koné un lot de 30 parcelles de terrains d'une superficie de 150 m2 chacune au prix de 42.000.000 cfa.
Poursuivant ses explications, l'avocat soutiendra que sa mandante a intégralement acquitté le prix d'achat des 30 parcelles entre les mains du sieur Koné. "Mais, grande a été sa surprise quand elle apprit que que les parcelles à elles cédées ont fait l'objet d'expropriation. Le sieur Koné s'est gardé de faire connaitre cet état de fait à ma mandante qui en a été tout de mêle informé" renchérira Me Ndoye.
Les deux parties ont par la suite convenu une solution à l'amiable à ce problème. "Qu'il a ainsi été arrêté que le sieur Boubacar Koné accepte de céder 30 parcelles de 150 m2 chacune sur son titre foncier numéro 26.../.. à la Coopérative d'Habitat de Tropicasem au prix de 75.000.000 cfa" expliquera encore l'avocat avant d'étayer derechef: " les deux parties ont convenu que les 42 millions cfa précédemment versés au sieur Boubacar Koné seront considérés comme un acompte sur les 75 millions cfa à verser par ma mandante sur les 30 parcelles du titre foncier suscité qui lui seront cédées"
Selon Me Ndoye, le sieur Koné s'était également engagé à formaliser ladite cession par devant notaire dans un délai de 15 jours à compter de la signature du protocole.
"Au final, le sieur Koné n'a pas respecté ses engagements et ma requérante se trouve au point de départ c'est à dire acquéreur de 30 parcelles de terrain de 150 m2 que Koné, présentement domicilié à Niakoulrap, savaient expropriées. Ces faits sont constitutifs du délit d'escroquerie, prévu et puni par les dispositions de l'article 379 du Code Pénal" a conclu l'avocat.
Interpellé sur les graves accusations à son encontre balaiera tout d'un revers de main, mais aussi paradoxalement confirmera les différentes transactions survenues entre le plaignant et lui.
Nous y reviendrons!
Que s'est il passé?
D'ordre et pour le compte de sa mandate, c'est à dire la Coopérative d'Habitat de Tropicasem, l'avocat (Me Ndoye) a esté contre le sieur Boubacar Koné.
Portant connaissance les faits, le conseil juridique dira que suivant un protocole d'accord que sa mandante a acquis auprès de Boubacar Koné un lot de 30 parcelles de terrains d'une superficie de 150 m2 chacune au prix de 42.000.000 cfa.
Poursuivant ses explications, l'avocat soutiendra que sa mandante a intégralement acquitté le prix d'achat des 30 parcelles entre les mains du sieur Koné. "Mais, grande a été sa surprise quand elle apprit que que les parcelles à elles cédées ont fait l'objet d'expropriation. Le sieur Koné s'est gardé de faire connaitre cet état de fait à ma mandante qui en a été tout de mêle informé" renchérira Me Ndoye.
Les deux parties ont par la suite convenu une solution à l'amiable à ce problème. "Qu'il a ainsi été arrêté que le sieur Boubacar Koné accepte de céder 30 parcelles de 150 m2 chacune sur son titre foncier numéro 26.../.. à la Coopérative d'Habitat de Tropicasem au prix de 75.000.000 cfa" expliquera encore l'avocat avant d'étayer derechef: " les deux parties ont convenu que les 42 millions cfa précédemment versés au sieur Boubacar Koné seront considérés comme un acompte sur les 75 millions cfa à verser par ma mandante sur les 30 parcelles du titre foncier suscité qui lui seront cédées"
Selon Me Ndoye, le sieur Koné s'était également engagé à formaliser ladite cession par devant notaire dans un délai de 15 jours à compter de la signature du protocole.
"Au final, le sieur Koné n'a pas respecté ses engagements et ma requérante se trouve au point de départ c'est à dire acquéreur de 30 parcelles de terrain de 150 m2 que Koné, présentement domicilié à Niakoulrap, savaient expropriées. Ces faits sont constitutifs du délit d'escroquerie, prévu et puni par les dispositions de l'article 379 du Code Pénal" a conclu l'avocat.
Interpellé sur les graves accusations à son encontre balaiera tout d'un revers de main, mais aussi paradoxalement confirmera les différentes transactions survenues entre le plaignant et lui.
Nous y reviendrons!