C'est connu: Idrissa Seck est devenu farouche opposant du régime Sall. C'est aussi révéler un secret de polichinelle que de dire qu'Idrissa Seck et Ousmane Ngom ont toujours entretenu des relations heurtées depuis Paris durant leur prime jeunesse. Des relations devenues houleuses lors de l'éclatement des fameux chantiers de Thiès. Mais, leur inimité risque de s'envenimer. Et, pour cause?
Dakarposte.com tient d'observateurs avertis, au fait de ce qui se trame dans les coursives du régime, que ce n'est pas fortuit que l'ancien ministre de l'Intérieur, Me Ousmane Ngom, resté longtemps recroquevillé dans son cocon, ait finalement décidé de sortir du bois. Comme, il l'a "himself" déclaré lors de son "ziaar" à Touba à l'occasion du Magal, l'avocat de renom a décidé de surseoir à sa "retraite spirituelle" ("kheulwaa") pour le paraphraser.
Et, des informations en notre possession, Ousmane Ngom pourrait "rapidement revenir dans les affaires", c'est à dire décrocher une promotion dans le régime actuel. Certes, "pour servir l'Etat, en tant que grand commis de l'Etat", mais il nous revient qu'officieusement, Ousmane Ngom pourrait être dressé comme un "chien de garde" (politiquement s'entend) contre Idrissa Seck qu'il avait surnommé "Raspoutine Seck" dans une de ses sorties trempées dans du vitriol.
Le temps, meilleur juge nous édifiera bien...
Edouard
Dakarposte.com tient d'observateurs avertis, au fait de ce qui se trame dans les coursives du régime, que ce n'est pas fortuit que l'ancien ministre de l'Intérieur, Me Ousmane Ngom, resté longtemps recroquevillé dans son cocon, ait finalement décidé de sortir du bois. Comme, il l'a "himself" déclaré lors de son "ziaar" à Touba à l'occasion du Magal, l'avocat de renom a décidé de surseoir à sa "retraite spirituelle" ("kheulwaa") pour le paraphraser.
Et, des informations en notre possession, Ousmane Ngom pourrait "rapidement revenir dans les affaires", c'est à dire décrocher une promotion dans le régime actuel. Certes, "pour servir l'Etat, en tant que grand commis de l'Etat", mais il nous revient qu'officieusement, Ousmane Ngom pourrait être dressé comme un "chien de garde" (politiquement s'entend) contre Idrissa Seck qu'il avait surnommé "Raspoutine Seck" dans une de ses sorties trempées dans du vitriol.
Le temps, meilleur juge nous édifiera bien...
Edouard