Ce sont des employés du quotidien l’Obs qui, naturellement sous le couvert de l’anonymat, tirent sur la sonnette d’alarme. Ce grand quotidien qui se vante régulièrement d’être le premier de la classe est en train de tirer le diable par la queue. A preuve, malgré sa grande notoriété, le quotidien l’Obs ne dispose que d’une seule voiture pour le ramassage des employés, les rotations pour rallier l’imprimerie... Et encore, ce véhicule de marque Kia serait une voiture de… location. Un certain Seck, un ancien chauffeur du groupe en serait le concessionnaire.
Les employés déplorent que les primes de treizième mois ne soient plus payées et, ceux qui prennent leur congé partent juste avec leur salaire du mois en cours alors qu’au tout début, le treizième mois était payé mais, disent les employés, c’était juste pour attirer les journalistes vers le groupe.
Pour se justifier, les patrons de la boîte invoquent des difficultés financières mais, selon les employés, aucun audit, aucun contrôle ne permet de dire que la boîte traverse des difficultés. Pour tout dire, c’est surtout l’absence de transparence dans la gestion qui les inquiète. En tout cas, pour un grand groupe comme GFM, cette descente aux enfers se présente comme une plaie hideuse qu’il faut cacher au monde extérieur. Le patron Youssou Ndour sait-il seulement ce qui se passe chez lui ?
Nos tentatives de joindre les patrons dudit groupe de presse sont restées vaines.
Affaire à suivre...
Les employés déplorent que les primes de treizième mois ne soient plus payées et, ceux qui prennent leur congé partent juste avec leur salaire du mois en cours alors qu’au tout début, le treizième mois était payé mais, disent les employés, c’était juste pour attirer les journalistes vers le groupe.
Pour se justifier, les patrons de la boîte invoquent des difficultés financières mais, selon les employés, aucun audit, aucun contrôle ne permet de dire que la boîte traverse des difficultés. Pour tout dire, c’est surtout l’absence de transparence dans la gestion qui les inquiète. En tout cas, pour un grand groupe comme GFM, cette descente aux enfers se présente comme une plaie hideuse qu’il faut cacher au monde extérieur. Le patron Youssou Ndour sait-il seulement ce qui se passe chez lui ?
Nos tentatives de joindre les patrons dudit groupe de presse sont restées vaines.
Affaire à suivre...