Selon le procureur de la République qui était interviewé ce lundi soir à la télévision nationale, l’enquête avance bien, même si les enquêteurs en sont certainement encore à la collecte d’éléments appartenant aux terroristes, comme des papiers d’identité ou un signe distinctif permettant de les identifier et de connaitre leur provenance. Mais pour le moment, à en croire Christophe Richard Adou, aucune pièce d’identité n'a été trouvée sur les cadavres des trois terroristes abattus.
« En dehors des preuves documentées, notamment des pièces d'identité, dont ils sont dépourvus, nous avons pu relever des empreintes, nous avons également fait des photographies afin de pouvoir soumettre cela d'abord au fichier national, et également à Interpol au niveau national et international, explique le procureur. Nous avons pu également saisir des bombes lacrymogènes, des grenades et des armes. Tout cela est en cours d'exploitation. »
Un élément précieux a été récupéré. Il s'agit d'un téléphone portable qui appartiendrait à l’un des assaillants et qui devrait permettre à la police scientifique de savoir vers qui étaient dirigés les derniers appels et d’identifier certains noms du répertoire.
Pour le moment, l’enquête n’en est qu’à ses débuts et le juge d’instruction pourrait être amené à collaborer avec un magistrat français, puisque le parquet de paris a décidé d’ouvrir une enquête pour assassinats terroristes suite à la mort de quatre de ses ressortissants.
« En dehors des preuves documentées, notamment des pièces d'identité, dont ils sont dépourvus, nous avons pu relever des empreintes, nous avons également fait des photographies afin de pouvoir soumettre cela d'abord au fichier national, et également à Interpol au niveau national et international, explique le procureur. Nous avons pu également saisir des bombes lacrymogènes, des grenades et des armes. Tout cela est en cours d'exploitation. »
Un élément précieux a été récupéré. Il s'agit d'un téléphone portable qui appartiendrait à l’un des assaillants et qui devrait permettre à la police scientifique de savoir vers qui étaient dirigés les derniers appels et d’identifier certains noms du répertoire.
Pour le moment, l’enquête n’en est qu’à ses débuts et le juge d’instruction pourrait être amené à collaborer avec un magistrat français, puisque le parquet de paris a décidé d’ouvrir une enquête pour assassinats terroristes suite à la mort de quatre de ses ressortissants.