Le pétrole atteint son niveau le plus élevé depuis trois ans. Les informations issues des bulletins d’analyse confient que le baril est à 65 dollars pour le brut et 70 dollars pour le brent.
Le pétrole crève le plafond – Attention à l’effet choc exogène pour le Sénégal!
Ce qui montre que les projections sont sorties d’une fourchette de 40/60 dollars jugée comme étant la zone idéale de fluctuation du pétrole.
Cette hausse subite risque d’avoir des conséquences sur les économies de pays comme le Sénégal très exposés aux chocs exogènes.
Un état de fait qui a souvent des répercussions sur le cours des matières premières avec des ondes de chocs jusque sur les denrées de première nécessité, les facteurs d’électricité et entre autres intrants de production.
Revenant à cette hausse inhabituelle, les raisons ne semblent pas surprendre plus d’un. Des revues spécialisées confient que tout d'abord les manœuvres de l'Arabie Saoudite depuis deux ans ont fini par payer.
A leur croire, sur l’offre de pétrole, la production de l'OPEP reste contrôlée, et la Russie elle aussi respecte ses engagements de quotas. Ce qui induit une diminution considérable des stocks.
Et, poursuivent les observateurs, les perspectives économiques mondiales avec des prévisions de croissance révisées encore à la hausse pour 2018 et donc une anticipation de hausse de la demande dans toutes les principales zones économiques.
Rajoutez à cela les tensions dans la région et notamment l'affrontement entre l'Iran et l'Arabie Saoudite et vous avez en théorie une hausse du pétrole tout à fait logique et prévisible sauf que peu de prévisionnistes l'avaient prévue et qu'elle est en fait très surprenante.
En tout cas, en Afrique, les dernières baisses des cours du pétrole avaient été fortement ressenties par les pays producteurs comme l’Algérie, l’Angola et le Nigeria. Ces dernières avaient enregistré des régressions conséquentes dans leur recette budgétaire.
Mariama Diallo
Lejecos.com
Le pétrole crève le plafond – Attention à l’effet choc exogène pour le Sénégal!
Ce qui montre que les projections sont sorties d’une fourchette de 40/60 dollars jugée comme étant la zone idéale de fluctuation du pétrole.
Cette hausse subite risque d’avoir des conséquences sur les économies de pays comme le Sénégal très exposés aux chocs exogènes.
Un état de fait qui a souvent des répercussions sur le cours des matières premières avec des ondes de chocs jusque sur les denrées de première nécessité, les facteurs d’électricité et entre autres intrants de production.
Revenant à cette hausse inhabituelle, les raisons ne semblent pas surprendre plus d’un. Des revues spécialisées confient que tout d'abord les manœuvres de l'Arabie Saoudite depuis deux ans ont fini par payer.
A leur croire, sur l’offre de pétrole, la production de l'OPEP reste contrôlée, et la Russie elle aussi respecte ses engagements de quotas. Ce qui induit une diminution considérable des stocks.
Et, poursuivent les observateurs, les perspectives économiques mondiales avec des prévisions de croissance révisées encore à la hausse pour 2018 et donc une anticipation de hausse de la demande dans toutes les principales zones économiques.
Rajoutez à cela les tensions dans la région et notamment l'affrontement entre l'Iran et l'Arabie Saoudite et vous avez en théorie une hausse du pétrole tout à fait logique et prévisible sauf que peu de prévisionnistes l'avaient prévue et qu'elle est en fait très surprenante.
En tout cas, en Afrique, les dernières baisses des cours du pétrole avaient été fortement ressenties par les pays producteurs comme l’Algérie, l’Angola et le Nigeria. Ces dernières avaient enregistré des régressions conséquentes dans leur recette budgétaire.
Mariama Diallo
Lejecos.com