Le juge du Deuxième cabinet rouvre le dossier François MANCABOU
François MANCABOU est mort, selon l’ancien procureur de la République, Amady DIOUF, des suites d’une blessure qu’il s’est faite en cognant le mur de la cellule de détention. L’enquête confiée à la Division des Investigations Criminelles (DIC) n’a rien donné de concluant.
Libération indique, dans son édition de ce lundi, que le juge d’instruction du Deuxième cabinet a rouvert le dossier pour situer les responsabilités. L’affaire a éclaté en 2022, lorsque des personnes supposées appartenir au parti d’opposition d’alors, PASTEF, sont accusées par les autorités d’avoir créé une milice appelée « Forces spéciales ». Parmi eux, François MANCABOU, qui a été arrêté. Il décède le 13 juillet 2022, en détention, dans des circonstances troublantes à l’hôpital Principal de Dakar.
Des convocations ont été transmises par le juge aux anciens compagnons de cellules du défunt afin d’être entendus. Sa famille qui soutient qu’il a été torturé et non suicidé veut que l’affaire soit mise au clair.
Walf
Libération indique, dans son édition de ce lundi, que le juge d’instruction du Deuxième cabinet a rouvert le dossier pour situer les responsabilités. L’affaire a éclaté en 2022, lorsque des personnes supposées appartenir au parti d’opposition d’alors, PASTEF, sont accusées par les autorités d’avoir créé une milice appelée « Forces spéciales ». Parmi eux, François MANCABOU, qui a été arrêté. Il décède le 13 juillet 2022, en détention, dans des circonstances troublantes à l’hôpital Principal de Dakar.
Des convocations ont été transmises par le juge aux anciens compagnons de cellules du défunt afin d’être entendus. Sa famille qui soutient qu’il a été torturé et non suicidé veut que l’affaire soit mise au clair.
Walf
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