Le dernier numéro de Jeune Afrique comporte un Plus titré « Sénégal, objectif 2017 ». Le principe est connu : le pays concerné est montré sous son meilleur visage. Tout y est beau, tout y est prospère, tout y est prometteur. On passe et repasse la brosse à lustrer. Et ça scintille à mille lieux.
Ce procédé est une excellente pub (pas déguisée) pour le pays en question et bonne source de revenus pour le magazine panafricain. Pour « Sénégal, objectif 2017 », l’État a casqué des milliers d’euros. Ce, à travers la mise à contribution de certaines entités qui sont invitées à acheter des espaces publicitaires dans le « Plus ».
Ont accepté de mettre la main à la poche : l’Agence sénégalaise de promotion touristique, l’Apix, l’Adie, le Port, l’Asepex, la Lonase, le Bureau opérationnel de suivi du Pse…
(Source : Libération)
Ce procédé est une excellente pub (pas déguisée) pour le pays en question et bonne source de revenus pour le magazine panafricain. Pour « Sénégal, objectif 2017 », l’État a casqué des milliers d’euros. Ce, à travers la mise à contribution de certaines entités qui sont invitées à acheter des espaces publicitaires dans le « Plus ».
Ont accepté de mettre la main à la poche : l’Agence sénégalaise de promotion touristique, l’Apix, l’Adie, le Port, l’Asepex, la Lonase, le Bureau opérationnel de suivi du Pse…
(Source : Libération)