De nos recoupements, dakarposte est en mesure de révéler qu'il faudra mettre à l'actif de la Cellule de Lutte Anti Terroriste (CLAT) de l'aéroport Léopold Sedar Senghor de Dakar la prouesse de ce lundi 04 Janvier. Nous faisons allusion à l'arrestation du journaliste Ould Saleck qui a été confondu avec l'un des plus dangereux terroristes portant le même nom.
Il nous revient que la première question qui a taraudé bien des esprits, particulièrement de la hiérarchie des forces de sécurité est de savoir ce qui s'est bien passé pour que ce dangereux individu ait pu passer entre les "check point" dressés depuis entre la frontière terrestre du Sénégal et de la Mauritanie et traverser tout le pays sans être inquiété?
Dakarposte tient de source sure que ce sont les Yankees (américains) principaux acteurs et bailleur de la CLAT qui ont donné l'alerte après que les services de la Police de l'Air et des Frontières aient fini de boucler et transmettre le Passenger Name Record (PNR) qui est le fichier recensant l'identité de tous les passagers des avions entrant ou sortant du territoire.
Heureusement que l'avion avait à peine décollé quand la faille a été découverte et c'est ainsi que la tour de contrôle de Dakar avait ordonné au pilote de rebrousser chemin semant une panique indescriptible après l’atterrissage sur la tarmac et dans l'avion surtout lorsque les passagers ont aperçu l’impressionnant dispositif d'accueil.
Depuis lors, le niveau de vigilance, c'est à dire la surveillance a été encore renforcé.
Et pourtant dès son évasion, nos différents de renseignements avaient, nous souffle t'on, augmenté le niveau de vigilance parce qu'il est notoire que Dakar serait une destination privilégiée compte tenu du fait que les autres frontières de la Mauritanie font l'objet d'une surveillance étroite des éléments de BARKANE et du G5 Sahélien dont le Sénégal n'est pas membre.
Figurez vous qu'après quelques heures dans les locaux de la CLAT,Cheikh Ould Saleck, qui se trouve être un journaliste, a été finalement transféré dans les locaux de la DIC pour le volet judiciaire de cette affaire qui selon certaines sources fera tomber des têtes à l'aéroport.
Il revient à dakarposte que plusieurs responsables de l'aéroport ont été "cuisiné" ( entendu).
Pour rappel,en 2008 ce même Cheikh Ould Saleck faisait partie du commando qui avait tué les 4 touristes Français à Aleg en Mauritanie et dont deux des membres avaient été arrêtés par la DGSE Française à Bissau.Il s'agissait des nommés Sidi Ould Sidna âgé de 20 ans à l'époque et de Ould Sidi Chabarnou âgé de 26 ans.
Avant leur arrestation,ces terroristes avaient séjourné au Sénégal où ils avaient passé quatre nuits à Dakar avant de rejoindre la Gambie car n'ayant pas parvenu à entrer en contact avec le membre qui devait leur offrir une logistique.Et selon un officier des Renseignements en service au moment des faits Cheikh Ould Saleck faisait parti du commando ayant séjourné à Dakar avant de disparaitre dans la nature.C'est par la suite qu'ils sont entrés à Bissau où ils ont été cueillis par la DGSE.
L’évasion de Ould Cheikh après 5 années de détention semble avoir été savamment préparée mais pourra très mal se terminer. D’abord pour le fugitif, pour sa famille et pour d’éventuelles cellules dormantes ou en recomposition.
Les recherches engagées pour le retrouver le pousseront à adopter deux choix suicidaires : se terrer avec le risque que cela comporte, sinon marcher, marcher, marcher sur des centaines de kilomètres en empruntant des pistes au nord, à l’est et au sud censées l’amener au Mali où la situation n’est plus la même qu’en 2011.
Et tout revient en définitive, au programme de l’évasion elle-même, car il est quasi certain qu’il ne s’est pas enfui pour mener une vie ordinaire et qu’il faudrait donc bien s’attendre à quelque chose d’extraordinaire.
Son épouse et sa soeur arrêtée
Dakarposte tient de sources concordantes que la police mauritanienne a arrêté vendredi dernier dans la soirée soir l’épouse et la sœur de Cheikh Ould Saleck.
Une source proche de l’enquête a confié que la camera de surveillance à l’extérieur de la prison, a filmé, jeudi soir, deux femmes en burqua sortant de la prison à quelques minutes d’intervalles. Ould Saleck devait recevoir le même jour la visite de son épouse.
Il nous revient que la première question qui a taraudé bien des esprits, particulièrement de la hiérarchie des forces de sécurité est de savoir ce qui s'est bien passé pour que ce dangereux individu ait pu passer entre les "check point" dressés depuis entre la frontière terrestre du Sénégal et de la Mauritanie et traverser tout le pays sans être inquiété?
Dakarposte tient de source sure que ce sont les Yankees (américains) principaux acteurs et bailleur de la CLAT qui ont donné l'alerte après que les services de la Police de l'Air et des Frontières aient fini de boucler et transmettre le Passenger Name Record (PNR) qui est le fichier recensant l'identité de tous les passagers des avions entrant ou sortant du territoire.
Heureusement que l'avion avait à peine décollé quand la faille a été découverte et c'est ainsi que la tour de contrôle de Dakar avait ordonné au pilote de rebrousser chemin semant une panique indescriptible après l’atterrissage sur la tarmac et dans l'avion surtout lorsque les passagers ont aperçu l’impressionnant dispositif d'accueil.
Depuis lors, le niveau de vigilance, c'est à dire la surveillance a été encore renforcé.
Et pourtant dès son évasion, nos différents de renseignements avaient, nous souffle t'on, augmenté le niveau de vigilance parce qu'il est notoire que Dakar serait une destination privilégiée compte tenu du fait que les autres frontières de la Mauritanie font l'objet d'une surveillance étroite des éléments de BARKANE et du G5 Sahélien dont le Sénégal n'est pas membre.
Figurez vous qu'après quelques heures dans les locaux de la CLAT,Cheikh Ould Saleck, qui se trouve être un journaliste, a été finalement transféré dans les locaux de la DIC pour le volet judiciaire de cette affaire qui selon certaines sources fera tomber des têtes à l'aéroport.
Il revient à dakarposte que plusieurs responsables de l'aéroport ont été "cuisiné" ( entendu).
Pour rappel,en 2008 ce même Cheikh Ould Saleck faisait partie du commando qui avait tué les 4 touristes Français à Aleg en Mauritanie et dont deux des membres avaient été arrêtés par la DGSE Française à Bissau.Il s'agissait des nommés Sidi Ould Sidna âgé de 20 ans à l'époque et de Ould Sidi Chabarnou âgé de 26 ans.
Avant leur arrestation,ces terroristes avaient séjourné au Sénégal où ils avaient passé quatre nuits à Dakar avant de rejoindre la Gambie car n'ayant pas parvenu à entrer en contact avec le membre qui devait leur offrir une logistique.Et selon un officier des Renseignements en service au moment des faits Cheikh Ould Saleck faisait parti du commando ayant séjourné à Dakar avant de disparaitre dans la nature.C'est par la suite qu'ils sont entrés à Bissau où ils ont été cueillis par la DGSE.
L’évasion de Ould Cheikh après 5 années de détention semble avoir été savamment préparée mais pourra très mal se terminer. D’abord pour le fugitif, pour sa famille et pour d’éventuelles cellules dormantes ou en recomposition.
Les recherches engagées pour le retrouver le pousseront à adopter deux choix suicidaires : se terrer avec le risque que cela comporte, sinon marcher, marcher, marcher sur des centaines de kilomètres en empruntant des pistes au nord, à l’est et au sud censées l’amener au Mali où la situation n’est plus la même qu’en 2011.
Et tout revient en définitive, au programme de l’évasion elle-même, car il est quasi certain qu’il ne s’est pas enfui pour mener une vie ordinaire et qu’il faudrait donc bien s’attendre à quelque chose d’extraordinaire.
Son épouse et sa soeur arrêtée
Dakarposte tient de sources concordantes que la police mauritanienne a arrêté vendredi dernier dans la soirée soir l’épouse et la sœur de Cheikh Ould Saleck.
Une source proche de l’enquête a confié que la camera de surveillance à l’extérieur de la prison, a filmé, jeudi soir, deux femmes en burqua sortant de la prison à quelques minutes d’intervalles. Ould Saleck devait recevoir le même jour la visite de son épouse.